[26/03/2002] Al Cabohne

Participants
– Julie, qui sait planter les haricots à la mode de chez nous (mais nous n’en parlerons pas…),
– Ludo le gars, votre serviteur.

Déroulement de la partie
Juste après notre partie d’Entdecker, je pousse Julie à essayer ce jeu qu’elle ne connaît pas. Il est vrai qu’à une heure du matin, planter des haricots, tout en se méfiant de la mafia, est un exercice de haute volée qu’on ne louperait pour rien au monde…

Une fois relues les règles de ce jeu, nous entrons dans le vif du sujet, avec des difficultés de jouabilité insoupçonnées…
J’avais beau avoir essayé ce jeu en solitaire, impossible de rendre fluide le déroulement de la partie, qui ne sera menée qu’en une seule manche au lieu de 3.
Nous commettons erreur sur erreur et le jeu s’achève par l’épuisement de la pioche (et des joueurs…).

Décompte final
La mafia récolte le plus de pièces d’or (un tas), tandis que Julie en a 3 et moi 2.

Débriefing
Nous nous accordons à dire que ce jeu peut être intéressant, mais que cette partie n’est guère représentative des ses potentialités. Le nombre d’erreurs d’interprétation des règles a été extrêmement préjudiciable au plaisir de jeu :
– Quand donner la carte de dessus de la pile de défausse à la mafia ?
– Doit-on placer les haricots récoltés sur la pile de défausse ?
– La mafia peut elle avoir un 3ème champ ?
– Comment acheter un 3ème champ coûtant 4 pièces d’or, sachant que l’on peine à en gagner ?
– Comment un tel écart a-t-il pu se créer entre la mafia et nous ?
– Est-il normal que l’on ait l’impression de subir le jeu de A à Z ?
– N’est-il pas consternant de devoir parfois planter une variété de haricot que la mafia cultive déjà et nous obliger à récolter en amont une culture prometteuse ?

Etc, etc, etc…

A retester, mais le contexte devra être différent… ou alors un vrai Bohnanza à 4 ou 5 !

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