Euphrat & Tigris

Type de jeu Placement
Construction
Auteur Reiner Knizia
Editeur (année) Hans Im Glück (1997)
Nombre de joueurs 2 – 4
Durée de partie De 1 heure 30 à 2 heures
Hasard
Mobilisation de réflexion
Reflet du thème
Qualité des mécanismes
Configuration idéale Toutes sont intéressantes
Note subjective 19 / 20
Nombre de parties effectuées Entre 11 et 20
Illustrations Dessus
de la boîte (36 Ko)

Partie en cours (131
Ko)
Aides de jeu

Critique générale
Enfin ! Enfin, j’ai pu expérimenter ce jeu encensé
par la critique. Et je dois dire tout de suite que j’ai été très
séduit par les mécanismes, petits bijoux de cohérence et
de subtilité.

Certes le thème n’est pas ultra-présent,
certes maîtriser le hasard doit demander un apprentissage assez long,
certes la durée de la partie semble avoisiner régulièrement
les 2 heures 30, mais pour un jeu où le plaisir ludique est aussi présent,
on peut bien accepter quelques petits détails…

Il est fantastique de voir que Knizia a su créer
un jeu hyper-dynamique, alors que c’est un jeu de placement, où chaque
tuile ne peut être déplacée. Seules des circonstances particulières
peuvent modifier le terrain construit : perte de conflit, tuile catastrophe,
… mais cela arrive suffisamment souvent pour que les royaumes se scindent,
se forment, et changent de propriétaire. En fait, la seule comparaison
qui me vient à l’esprit, et elle est plutôt flatteuse, c’est le
jeu de GO ! Je dirai qu’Euphrat & Tigris est une extension du GO, en lui
apportant une dimension thématique plus forte, et des variations très
intéressantes.

A se procurer de toute urgence pour ceux qui ne
l’ont pas encore. Est-ce que la production américaine suffira, sachant
que la version allemande est épuisée ?.

EDIT 20/07/05 : adorant trop le jeu germain, j’ai
acquis la superbe version US par un échange sympathique et je ne saurais
que trop vous la conseiller…

 

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