Tristan procède au placement des 12 tuiles événements, en appliquant la règle d’interdiction d’avoir deux événements identiques successivement (non écrite dans ma version des
règles, mais effectivement mentionnée dans la version française officielle)… |
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Ca va démarrer fort par l’alternance d’épidémies et de feux d’artifices, avant que la sécheresse et les invasions mongoles ne viennent s’installer. Le tribut à l’empereur,
lui, sera payé en deux fois assez écartée… |
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Histoire de varier, car c’est toujours intéressant de « tester » diverses manières de jouer, j’opte pour un médecin et un artificier dès l’entame, me disant qu’après tout je
m’investissais ainsi, sans ambiguïté, dans les 4 premiers événements prévus… |
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Ayant observé les effets bénéfiques des courtisanes et des sages, Tristan ne s’encombre pas de tels préjugés et il retient un personnage de chaque pour démarrer. Je sais
donc, déjà, qu’il va devoir se lancer dans les médecins assez vite, voire dans les artificiers, mais pour ces derniers, rien n’est sûr… |
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Sans trop de surprise, je choisis l’action Fusée au premier tour, en empochant ainsi 2, puis joue l’action du médecin pour prendre la seule tuile âgée. Tristan, lui, se rabat
étonnamment sur la production de riz puis joue également une carte de médecin… |
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Voici donc comment je termine mon premier tour de jeu… |
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Le jeu est toujours aussi fluide, tendu et plaisant. De plus, avec cette file d’événements qui change à chaque partie et les deux personnages différents pris en entame, le
jeu semble toujours se renouveler… |
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Tristan n’hésite pas quant à sa stratégie de jeu : il engrange PV sur PV, avec ici l’achat d’un petit parchemin, lequel lui rapportera pas moins d’un PV par tour de jeu… En
revanche, il me laisse assez tranquille sur les fusées et la préparation des autres événements à venir… |
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Hop ! Jempoche 6PV pour mes fusées, sans que Tristan ne parvienne à glaner les 3PV promis au second. Avec trois bâtiments, bien aidé par mon bâtisseur utilement construit
tôt, je suis un développement logique et en parallèle des événements à venir… |
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Tentative de votre serviteur aujourd’hui : conserver le plus longtemps possible mes deux cartes de point d’interrogation. L’idée est de rentabiliser chacune des autres avant,
afin d’avoir ensuite toutes les solutions possibles. En fait, je devrai bientôt me résoudre à en jouer une des deux, mais bon, l’idée était là… |
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Mi-partie atteinte, avec une avance de 3PV pour Tristan, lequel ne parvient pas à me rattraper sur la piste des personnages (ses deux courtisanes notamment l’ont bien
ralenti)… |
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Je possède quatre bâtiments, avec le vieux moine et le vieux mongol, deux tuiles que je suis très satisfait d’avoir chipé au bon moment, en vue de la suite de la partie… |
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De son côté, Tristan possède cinq bâtiments, mais il va avoir du mal à tenir le choc au niveau des mongols, lesquels vont certainement lui faire perdre deux fois un
personnage… |
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Le mimétisme gamin – paternel va-t-il se poursuivre au-delà du jeu ? Tristan se lance, en effet, dans la tenue d’un carnet de ses parties jouées ! Ca vous rappelle quelqu’un
? |
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Il reste trois événements à subir et Tristan caracole en tpete avec 9 points d’avance. Il revient également sur la piste des personnages, même si ma petite avance me permet
toujours de jouer en premier. Ainsi, j’ai choisi de construire, obligeant mon gone à payer 3 yuans pour produire du riz… |
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Bien, là je vais couiner un peu, mais peut-on vraiment se battre sur tout et tout le temps ? Je subis l’événement de sécheresse de manière forte en perdant trois personnages
! Je décide d’écarter un médecin et mes deux artificiers, plus utiles à grand chose à présent, mais me privant, quand même de trois fois 2PV… |
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Plus qu’un tribut à l’empereur à régler et la partie sera pliée. Tristan porte son avance à 11PV mais il possède moins de personnages que moi et a un moine plus jeune… |
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Cette fois, c’est terminée et, avant l’ultime décompte, Tristan est placé 8 cases devant moi au score… |
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La zone individuelle de Tristan comporte cinq bâtiments, pour un total de six personnages… |
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Ma zone individuelle contient six bâtiments, pour un total de dix personnages… |
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Bilan synthétique :
On a aimé
– L’aspect très incisif du jeu, avec des événements prévisibles qui ne pardonnent pas et qui obligent à s’y préparer pour les subir le moins possible,
– L’obligation de bien anticiper l’action de construction, car les places sont chères pour mettre de nouveau personnages et, évidemment, on a tous envie de cette
action au même moment !
– L’intérêt de savoir décaler d’un tour ses choix, afin d’être en décalage avec les attentes communes (mongols, moines, … sur cette partie),
– L’ancrage très « respect asiatique » de la désignation du vainqueur, lequel ne cherche pas à faire le meilleur score dans l’absolu, mais à finir devant ses adversaires,
simplement…
On a moins aimé
– ? |
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Scores de la partie :
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Piste |
Personnages |
Moines |
Yuans |
Total |
Tristan (jaune) |
87 |
12 |
2 |
1 |
102 |
Ludo le gars (vert) |
79 |
20 |
6 |
1 |
106 |
Note du jeu (sur cette partie) : 17 / 20
Durée de la partie : 1 heure
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roma est le moins bon feld à mon avis trop dépendnat des cartes, trop déjà vu..bof bof
Roma est un jeu déconcertant la première fois. Mais c’est en réalité un jeu vif et rapide, dès lors qu’on a bien analysé la fonction de chaque carte. L’architecte notamment est une carte très
puissante, ainsi que celle permettant d’aller piocher la carte que l’on veut. Un partie peut s’achever en quelques tours dès lors qu’on a réussi à construire un forum (ou deux) et un temple
attendant. L’adversaire n’a plus d’autre ressource alors que de piocher comme un fou dans l’espoir de se procurer une catapulte ou un Néron.
Cher moi, ce jeu a ravi, et l’on enchaîne les parties. c’est à la vérité un des meilleurs jeux de ce format (dés + cartes) que je connaisse.
La carte très puissante « Nturio » à Roma ? A mon avis il faudrait soulever le dé et voir qu’il s’agit d’un « ceNturio » ^^ Je ne suis pas sur qu’il y avait beaucoup de Nturio dans l’armée
romaine :p
Pour ma part je trouve que les combos de cartes ne sont pas si complexes comparées à des jeux comme Dominion même si il faut bien sur plusieurs parties pour maîtriser les cartes et bien
composer sa tactique.
Concernant ta critique sur le temps de jeu je trouve au contraire que c’est un bon point, on ne sait jamais à quoi s’attendre. La donne hasardeuse des cartes et les dés donnent du piment au
jeu ca évite les stratégies plates que l’on répète inlassablement d’une partie à l’autre et forcent à l’adaptation.
Après c’est vrai il y a des cartes surpuissantes qu’il faut modérer soi-même et lorsqu’un joueur prend l’avantage il est dur d’aller le chercher mais je trouve un 13 sévère mais après chacun ses
gouts !
Le thème romain bien illustré, le système des dés qui rappelle un peu Catane à 2 joueurs qui force à réfléchir après coup et à s’adapter sans se prendre la tête à planifier à l’avance, les
multiples possibilités malgré un jet de dés pourri, le stress de la course aux points, la rejouabilité très importante, la diversité des parties (encore plus si on cumule Roma II),
l’interraction entre les deux joueurs (bien qu’essentiellement militaire) en font, malgré ses petits défauts, un des jeux les plus utilisés de ma ludothèque !
Roma est un jeu déconcertant la première fois. Mais c’est en réalité un jeu vif et rapide, dès lors qu’on a bien analysé la fonction de chaque carte. L’architecte notamment est une carte très
puissante, ainsi que celle permettant d’aller piocher la carte que l’on veut. Un partie peut s’achever en quelques tours dès lors qu’on a réussi à construire un forum (ou deux) et un temple
attendant. L’adversaire n’a plus d’autre ressource alors que de piocher comme un fou dans l’espoir de se procurer une catapulte ou un Néron.
Cher moi, ce jeu a ravi, et l’on enchaîne les parties. c’est à la vérité un des meilleurs jeux de ce format (dés + cartes) que je connaisse.
La carte très puissante « Nturio » à Roma ? A mon avis il faudrait soulever le dé et voir qu’il s’agit d’un « ceNturio » ^^ Je ne suis pas sur qu’il y avait beaucoup de Nturio dans l’armée
romaine :p
Pour ma part je trouve que les combos de cartes ne sont pas si complexes comparées à des jeux comme Dominion même si il faut bien sur plusieurs parties pour maîtriser les cartes et bien
composer sa tactique.
Concernant ta critique sur le temps de jeu je trouve au contraire que c’est un bon point, on ne sait jamais à quoi s’attendre. La donne hasardeuse des cartes et les dés donnent du piment au
jeu ca évite les stratégies plates que l’on répète inlassablement d’une partie à l’autre et forcent à l’adaptation.
Après c’est vrai il y a des cartes surpuissantes qu’il faut modérer soi-même et lorsqu’un joueur prend l’avantage il est dur d’aller le chercher mais je trouve un 13 sévère mais après chacun ses
gouts !
Le thème romain bien illustré, le système des dés qui rappelle un peu Catane à 2 joueurs qui force à réfléchir après coup et à s’adapter sans se prendre la tête à planifier à l’avance, les
multiples possibilités malgré un jet de dés pourri, le stress de la course aux points, la rejouabilité très importante, la diversité des parties (encore plus si on cumule Roma II),
l’interraction entre les deux joueurs (bien qu’essentiellement militaire) en font, malgré ses petits défauts, un des jeux les plus utilisés de ma ludothèque !