[04/07/2009] Livingstone, Die Goldene Stadt, Arktia, Art moderne, Rumis X 2

Ludophiles en gîte version 2009 : deuxième jour. Malgré la fatigue généralisée, ce sera la plus grosse journée ludique du week-end, avec, en ce qui me concerne, pas moins de 6 parties de 5 jeux différents :
Livingstone : un jeu très agréable et très abordable que je voulais revoir,
Die Goldene Stadt : le nouveau Michael Schacht, sorti en même temps que Valdora, mais en plus immédiat et simple,
Arktia : un jeu abstrait récupéré à Essen sur le stand de Günter Cornett, conçu par le même auteur que Rumis,
Art moderne : magnifiquement illustré, ce jeu d’enchères, que je connaissais dans sa précédente édition (Modern Art), est ici encore mieux mis en valeur,
Rumis : l’incontournable jeu de placement où il faut se montrer. Deux parties, avec deux nouveaux joueurs conquis.
Mmmhh… Quelle belle journée…

LIVINGSTONE :

 


Livingstone, c’est du condensé de jeux à l’allemande, avec plein de références à des titres réputés. Ce qui est appréciable, c’est que le jeu est vraiment bien équilibré et qu’il
faut donc le voir comme une bonne synthèse. Ici, les jets de dés du premier tour offre un panel de choix assez classique…

Pas mal pour un premier tour : j’ai placé une tente dans la ligne 2 (visant la majorité de fin de partie sur cette ligne) et j’ai pioché 5 pierres dans le sa, dont pas moins de 2
rouges sur les 5 que contient le sac (je les vends pour 11 pièces d’or) ! En route pour le second tour, dès que le bateau aura avancé…

En compagnie de Romain, Sylvain, Julie et Pierre, nous nous faisons plaisir sur ce petit jeu assez malin et idéal pour entamer la journée au moment du café…

Fin de 4ème tour et tout se déroule tranquillement (sans recul du bateau par exemple). A noter que nous jouons avec ma variante au niveau des coffres : à son tour, on ne peut placer
qu’un maximum d’une pièce, ou une de plus à condition de ne pas prendre un cube que l’on pouvait prendre…

Bonne tension autour de la table, il faut dire que de sévères luttes sont engagées pour les majorités (ligne 1 entre Sylvain et Romain, ligne 2 entre Pierre et moi, pour ne parler
que des lignes les mieux récompensées)…

Comme de coutume sur ce jeu, l’un des joueurs (Sylvain) fera reculer le bateau (pour toucher deux fois le décompte de 12 PV lié à ses deux tentes en ligne 6). Mais cela n’arrivera
qu’une fois. Ensuite, la partie s’achève…
Bilan synthétique :

On a aimé
– L’impression de synthèse réussie du jeu,
– La variante des coffres qui rend le jeu encore plus tendu et cela était nécessaire,
– La fluidité des tours de jeu.

On a moins aimé
– L’absence de thème, évidemment.

Scores de la partie :

   Piste + PV des cartes + Pierres restantes
Majorités
Offrandes Total
Romain (noir) 35 + 4 + 4
14 11 57
Lucarty (rouge) 43 + 0 + 0
8 12 51
Julie (jaune) 28 + 5 + 0
0 9 33
Pierre (bleu) 40 + 0 + 0
14 8 (éliminé) 54
Ludo le gars (vert) 43 + 0 + 0
6 10
49

Note du jeu (sur cette partie) : 15 / 20


Durée de la partie : 1 heure 30 minutes

 

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DIE GOLDENE STADT :


La cité d’or est un jeu de pose de comptoirs autour de la cité et dans ses quartiers afin d’acquérir des points de prestige. On dispose de cartes (de 5 types) afin de placer les
fameux comptoirs (2 identiques pour se faire, 1 seule pour les ports). Le jeu est très abordable et très logique, avec le gain d’un petit avantage à chaque comptoir posé (illustré
sur la case) et une fin de partie qui survient dès qu’un joueur n’a plus de comptoir à poser…

La première bonne idée du jeu c’est le choix des 2 nouvelles cartes qu’on pourra mettre dans sa main, celles-ci étant placées par paire et attribuées selon un système d’enchère à
la Evo mais en plus ardu encore : si l’on expulse la main de carton d’un joueur, on doit payer une pièce d’or, le second joueur qui le fait en payant 2, et ainsi de suite, ce qui
finit par coûter très cher…

Le plateau paraît surchargé et difficile à lire, c’est en partie vrai. C’est vrai parce que les cases sur lesquelles on place les comptoirs sont vraiment petites. C’est faux parce
qu’on repère très facilement les couleurs de cartes à jouer et les routes menant d’une case à l’autre. Ici, nous sommes en fin de premier tour…

Avec Marc, Romain et Maitena, nous passons un moment agréable, même si ce n’est clairement pas le jeu de l’année, celui-ci étant quand même trop simple, trop court et trop peu
excitant…

Devant lui, chaque joueur collecte des cartes de marchandises, lesquelles peuvent rapporter des PV lorsque la carte objectif qui est piochée à chaque tour indique l’une d’elles.
Ensuite, il y a aussi un objectif lié aux cases effectivement occupées par des comptoirs (du genre : autour de la rivière de la zone de montagne). Sur la cité, c’est plus vicieux,
puisque le premier arrivé est quand même mieux récompensé que le second…

Maitena a très bien compris le jeu, même si, de l’avis général, elle prend trop de temps pour réaliser ses coups. Un peu comme si elle voulait faire durer la partie, histoire de la
vivre plus longtemps. En fond, on remarque que Romain s’est levé, signe qu’il n’est pas complètement serein sur la partie :-)))…

La partie s’achève et j’ai un peu le sentiment d’avoir joué à un truc assez proche de Metropolys dans l’esprit. On a pu opter pour des cartes de bonus (choisies dans la pioche) et
celles-ci vont clairement changer la donne des scores, jusqu’alors seulement basés sur des lettres de change amassées pendant la partie…
Bilan synthétique :

On a aimé
– La simplicité du jeu, et pour autant le jeu n’est pas simpliste !
– La logique des règles à tout moment, ce qui rend le jeu très fluide,
– Le système d’enchères à la Evo.

On a moins aimé
– Le manque d’excitation générée par le jeu,
– Le manque d’ergonomie du plateau, quand bien même il soit fonctionnel : les cases pour le placement des comptoirs sont quand même bien petites et de grandes zones restent
inexploitées,
– Un peu l’impression d’un « tout çà pour ça » dans une grosse boîte une fois la partie achevée.

Scores de la partie :

   Points de victoire Bonus Total
Marc (blanc) 35 6 41
Romain (rouge) 52 7 59
Maitena (bleu) 26 24 50
Ludo le gars (vert) 49 6 55

Note du jeu (sur cette partie) : 14 / 20


Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

 

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ARKTIA :


Arktia c’est un jeu très attirant (enfin pour moi) et pourtant je ne réussissais pas à le découvrir depuis Essen. Il faut dire que les jeux abstraits ne sont pas toujours très
appréciés autour de moi. Du coup…

L’idée du jeu (ici en fin de mise en place) est de survivre mieux que les autres sur une banquise qui va bientôt fondre et sur laquelle il faut rester groupé avec les pièces de sa
couleur…

Fin de premier tour de jeu et on voit que Pierre (rouge), Romain (bleu) et moi (vert) avons consacré notre action à ajouter une nouvelle pièce (on en a 3 de chaque type en tout).
Maud (jaune) démarre différemment et de manière plus belliqueuse : elle m’agresse littéralement, déplaçant sa petite pièce jaune sur ma pièce moyenne verte !

Maud m’inquiète et Pierre est bel et bien en train d’analyser les possibles : si elle déplace la tour ainsi formée au prochain tour, en la plaçant en dessous de sa pièce moyenne,
elle éliminera ma pièce moyenne car elle sera désolidarisée de mon bloc. De plus, je serais éliminé car je n’aurais plus que 2 pièces en jeu. Danger, danger…

Bon, les choses ne sont pas si simples, un peu comme aux échecs où on ne prend pas forcément les pièces adverses de manière systématique. La preuve en image, puisque la fameuse tour
est toujours là…

Romain cogite et Pierre boit. Elle est pas belle la vie de ludophile ? 😉

Pour le moment, c’est Romain qui souffre le plus. A noter que dans pas longtemps le bloc général va se scinder en deux sous-blocs, avec Pierre et Romain d’un côté, Maud et moi de
l’autre…

Studieux. Oui, je crois pouvoir dire que nous sommes studieux. Le jeu, bien qu’il puisse être pratiqué en dilettante, semble quand même assez cérébral et gagne à être joué de la
sorte. Maud le compare à Hive, un jeu qu’elle adore…

Romain ayant placé toutes ses pièces en jeu commence à retirer une tuile du bord de la banquise par tour de jeu. Il y a moyen de faire de belles crasses à ses adversaires…

Oulha ! Maud vient de me perforer ! Elle a réussi dans le même tour à scinder mon bloc en deux parties de taille 3 chacune. Du coup, je suis super mal dorénavant et je ne vois pas
qui pourra l’attaquer…

Le plateau se rétrécit dangereusement et le nombre de pièces de chaque joueur diminue. Bientôt la fin…

Maud règne sans partage sur le haut, où je suis déjà hors course, alors que Pierre ne peut plus jouer sur le bas et qu’il a donc terminé lui aussi sa partie. Quant à Romain, c’est
pour bientôt…

Maud vient d’empêcher définitivement Pierre de jouer et elle va, à présent, parfaire sa victoire éclatante en jouant toute seule durant plusieurs tours…

Fin de partie en forme de grosse rouste que nous inflige Maud, laquelle totalise à elle seule plus de points que l’ensemble des autres joueurs réunis !
Bilan synthétique :

On a aimé
– L’obligation de laisser ses pièces assemblées sous la forme d’un gros bloc,
– L’élégance des trois types de pièces, particulièrement l’anneau : matériel vraiment sympa !
– La puissance relative des pièces les unes par rapport aux autres : la petite peut bloquer la moyenne, la moyenne peut bloquer la grande et la grande peut bloquer la petite,
– La déconnexion progressive de la banquise, très jouissive à orchestrer.

On a moins aimé
– L’immense difficulté pour aller attaquer un joueur quand on est soi-même affaibli.

Scores de la partie :

   Hexagones contrôlés Tuiles + pièces amassées Total
Pierre (rouge) 2 2 + 4 8
Romain (bleu) 1 8 + 4 13
Maud (jaune) 8 12 + 9 29
Ludo le gars (vert) 0 3 + 2 5

Note du jeu (sur cette partie) : 14 / 20


Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

 

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ART MODERNE :


Que c’est kitsch, surfait et irrésistible ! Très grand bravo à l’illustratrice de cette réédition d’Art Moderne. Sinon, au niveau du jeu en lui-même, pas de surprise, c’est un très
bon  jeu d’enchères de Reiner Knizia, même si je le trouve toujours en-dessous de Medici et autre Râ…

A son tour, c’est très simple, on met en vente un tableau de l’un des 5 artistes selon un type d’enchère indiqué sur la carte (poing fermé, prix fixe, un seul tour ou à la criée)
puis l’acheteur paie son dû au vendeur (ou à la banque si l’acheteur est le vendeur) et place son oeuvre devant lui, classée par artiste…

Comme la 5ème carte Bahut est proposée par Romain (elle n’est pas vendue), la première manche s’achève et les 3 artistes ayant été le plus vendus ce tour se retrouvent bonifiés d’un
marqueur 30, 20 ou 10. Ensuite, chacun vend les oeuvres étalées devant lui au prix en question (défausse) et on attaque la seconde manche avec 3 cartes de plus en main…

Ca parlemente, ça tente d’évaluer au mieux ce que peut bien valoir un tableau, bref ça cause… La finesse du jeu c’est que si l’artiste ne reste pas à la mode (autrement dit :
n’acquiert pas de nouveau marqueur 30, 20 ou 10 en fin de manche) ses oeuvres nouvellement achetées seront vendues 0 par les joueurs les ayant exposées (malgré d’éventuels marqueurs
glanés lors des manches précédentes)…

Cette fois, lors de la seconde manche, il fallait plutôt miser sur Darmoir (bord rouge) ou Koriko (bord marron), puisque ces deux artistes, déjà bien reçus en première manche, le
sont encore en seconde manche. Pile poil les artistes exposés dans ma gallerie !

Fin de troisième manche à présent et on notera que Darmoir fait vraiment une belle carrière avec pas moins d’un total de 60 000 € pour chacun de ses tableaux. En ce qui me concerne,
je ne suis pas mécontent de mes 2 Sadland et de mes 2 Bahut, respectivement de valeur 50 000 € et 40 000 € pièce…

Nous sommes en cours de 4ème manche et je suis très satisfait de mes euros chèrement acquis au prix d’investissements assez lourds et risqués. Avec mes deux Koriko et mon Sadland,
je pense que je suis vraiment bien placé pour la victoire, chacun de ces deux artistes ayant la quasi-certitude ‘être valorisé à nouveau (j’ai d’ailleurs plusieurs Koriko en main au
cas où et un Sadland). A noter que je réfléchis longuement, à mon tour, pour savoir si j’ai plutôt intérêt à clore la partie (2 Koriko en même temps donc pas de vente) ou à vendre
un seul tableau Koriko et laisser l’un de mes adversaires la terminer…

Fin de partie, suite à la clôture que réalise Julie contre toute attente (pour moi) ! J’ai, à mon tour, opté pour une vente (Romain m’ a payé 42 000 € pour le Koriko) puis, dans la
foulée, je me suis laissé aller à acheter à poing fermé le petit Bahut que proposait Sylvain. J’ai mis symboliquement 11 000 € dans ma main, histoire de dire. Le truc, c’est que je
l’ai eu ce tableau (Romain avait mis 10 000 €) ! Et qu’il a pesé très lourd dans la balance, puisqu’il m’est resté sur les bras (non valorisé). Et comme je perds de 8 000 € sur
Romain, je couine encore de mon stupide réflexe d’avoir mis quelque chose dans ma main…
Bilan synthétique :

On a aimé
– Le thème du jeu, ultra-présent et vraiment bien rendu (Julie me dit que ce n’est pas si vrai, ou en tout cas que tous les galleristes ne prennent pas autant les artistes pour de
la marchandises),
– Le côté circulaire des ventes depuis sa main, puis achats, puis reventes selon la mode,
– Les possibilités bien vicieuses que l’on peut mettre en oeuvre,
– La possibilité de gagner même sans rien acheter ou presque (n’est-ce pas Romain ?). En tout cas, on a l’impression que plusieurs stratégies sont vraiment viables.

On a moins aimé
– Les prix qui flambent trop parfois, au-dessus des gains potentiels même ! Du coup, on a affaire à une sorte de déstabilisation du marché au profit de certains joueurs (qui n’y sont pas pour grand-chose).

Scores de la partie :

   Ventes fin M1
Ventes fin M2 Ventes fin M3
Ventes fin M4 Total
Lucarty 40 100 120 210 221
Julie 20 20 0 20 179
Caroline 60 40 60 60 449
Romain 30 60 100 60 483
Ludo le gars
40 140 180 190 475

Note du jeu (sur cette partie) : 16 / 20


Durée de la partie : 1 heure

 

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RUMIS X 2 :


Chullpa est mon plateau préféré pour Rumis : le plus simple, le plus logique, le plus profond. Mes camarades ont opté pour un placement compact de leurs pièces (Romain en jaune en
premier, suivi de Noémie en rouge et d’Antoine en bleu) alors que je tente de m’extirper vers le coin (en vert)…

Avec son système à la Tetris ultra simple mais franchement vicieux (si on sert de fondation, on a moins de chance d’être visible d’en haut), le jeu séduit tout de suite les
nouveaux joueurs. Pour ceux qui sont intéressés, sachez qu’un plateau tournant (type TV ou pour ranger les bouteilles d’huile) est absolument nécessaire…

Etonnante configuration quand même, avec une élévation en deux parties distinctes…

Et même trois parties distinctes depuis que bleu s’est senti des ailes. A noter que la hauteur maximale (8) est atteinte…

Romain couine déjà, lui qui était le mieux parti mais qui me sent à présent le mieux placé pour la victoire…

Très belle configuration finale, à mon avantage, mais avec des trous vraiment impressionnants. En tout cas, c’est du régal…

Deuxième parties dans la foulée, sur le plateau pyramidal de Coricancha. J’insiste beaucoup pour que chacun prenne garde de ne pas se laisser bloquer…

Aïe, aïe, aïe pour Noémie qui devrait, selon toute vraisemblance, se retrouver out puisque Romain a la possibilité de lui fermer l’accès à gauche …

Séance reflexion chez Antoine, alors qu’au premier plan on voit bien que Romain n’a pas verrouillé l’accès pour rouge. J’espère pour lui qu’il ne s’en mordra pas les doigts…

La bataille fait rage au centre, zone la plus élevée. A noter que je suis attaqué de toutes parts, avec notamment Antoine qui s’en prend au bord de hauteur 1 que je pensais me
réserver et Romain qui est placé juste à côté de mes pièces centrales…

On s’achemine vers la fin de partie et celle-ci devrait plus serrée que la première, même si, dans les derniers tours, je parviens à plus jouer que certains adversaires…

Fin de partie et le moins que l’on puisse dire c’est que cela va être tendu…
Bilan synthétique :

On a aimé
– La simplicité, l’évidence du jeu, son irrésistible attrait quant au fait de devoir se montrer,
– L’obligation de servir de fondation alors que tout le monde essaie d’être au plus haut : paradoxal et séduisant !
– Les nombreux plateaux proposés.

On a moins aimé
– Le relatif manque de pureté des plateaux en dehors de celui de base et la plus grande difficulté pour ne pas se faire malencontreusement bloqué.

Scores de la partie :

Manche 1 : Chullpa

Romain (jaune) : 7-1 = 6
Noémie (rouge) : 1-1 = 0
Antoine (bleu) : 3-2 = 1
Ludo le gars (vert) : 9-0 = 9

Manche 2 : Coricancha

 

Romain (jaune) : 15-3 = 12
Noémie (rouge) : 16-3 = 13
Antoine (bleu) : 14-4 = 10
Ludo le gars (vert) : 18-3 = 15


Note du jeu (sur cette partie
) : 18 / 20


Durée de la partie : 1 heure 15 minutes (en tout)

 

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4 commentaires à propos de “[04/07/2009] Livingstone, Die Goldene Stadt, Arktia, Art moderne, Rumis X 2”

  1. Hello Ludo,

    Il y a comme qui dirait un petit problème avec le bilan synthétique des parties de Rumis… Ou alors, une très grande ressemblance avec le jeu Automobile ? 😉

  2. ah ok, comme je ne vais pas à essen, ceci explique cela…
    en tout cas merci pour la réponse et toutes les informations, je vais me renseigner
    bons jeux à toi et à ta fine équipe !

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