Participants
– Jérôme, berger tout là-haut sur la montagne,
– Ludo le gars, votre serviteur.
Déroulement de la partie
Jérôme est venu souvent à la maison, c’est indéniable, et il est curieux de constater qu’il n’avait encore jamais eu le loisir d’essayer ce jeu. Amateur de jeux de connexion, je me fais peu de souci sur l’intérêt qu’il est susceptible de porter à la Guerre des moutons.
J’expose très rapidement les règles, en insistant sur les deux originalités majeures du jeu, à savoir la possibilité d’abandonner et la bonification accordée dans ce cas, et le droit de jouer en dehors de son tour pour placer un loup ou un chasseur. Jérôme semble apprécier les mécanismes et trouve les graphismes très sympas.
Nous piochons notre carte ? nous indiquant notre couleur cachée et nous nous lançons dans la partie. Histoire de ménager le suspense, je ne révèlerai pas les couleurs de chacun trop tôt…
Jérôme comprend très vite Lors des premiers tours, chacun s’observe
Plus la partie avance, moins nous sommes surs A un moment donné, lorsque la pioche
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La suite du jeu est une vraie partie de
Je réalise un joli coup en plaçant Jérôme, voyant la situation Il n’y croit pas un instant et… il a tort
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Décompte final
Je remporte cette partie avec un total de 21 points (18
+ 3) contre 14 points (8 + 6) pour Jérôme.
Débriefing
Pour un jeu que je n’avais pas pratiqué depuis longtemps, j’avoue avoir
été très agréablement surpris du plaisir que nous
y avons pris. Jérôme l’a trouvé très sympathique,
avec un savant mélange de tactique et de bluff fort appréciable.
Parvenir à dissimuler sa couleur réelle est un plaisir délectable…
La configuration 2 joueurs est franchement agréable, comme mentionné
plus haut, car elle fait la part belle au bluff avec ses 2 couleurs non utilisées.
Le jeu est très riche ainsi car lorsque l’on tente de bloquer la progression
d’une couleur, on risque de le faire en pure perte si cette couleur était
justement non affectée…
Très sympa petit jeu, dans un boîte de taille
rêvée, il méritait indiscutablement le prix du Jeu de
l’Année français 2002. Encore bravo !