Sublime thématique ludique, oui sublime car réellement j’ai dû passer l’une de mes meilleures journées ludiques ce jour, avec notre journée sur les jeux coopératifs et/ou par équipes. Nous avons découvert deux jeux enchanteurs, enfin ceux qui ont joué à ma table bien sûr… Lesquels ? Je vais vous le dire sous peu…
– D’abord, nous nous sommes lancés dans le sauvetage des ours blancs sur la banquise, sans négliger l’acquisition de données scientifiques, au travers du jeu Rescue Polar Bears , Data & Temperature , un jeu hyper immersif et hyper bien réalisé : on a plongé dedans…
– Burgle Bros , un jeu de Tim Fowers, qui se situe dans le monde des cambrioleurs des années 50 aux States, avec comme idée de dévaliser la banque, celle-ci étant installée dans un immeuble de trois étages. Rien que ça ! Là, on s’est tout bonnement régalé, il ne manquait plus que la musique d’ambiance (ici : sur Melodice ) et une lumière tamisée…
RESCUE POLAR BEARS X 2
La boîte la plus mignonne de tout le salon d’Essen 2017 ! Sans aucun conteste…
Une fois installé, le plateau modulaire a vraiment de la gueule, avec sa banquise déjà morcelée, ses petits ours blancs en résine du plus bel effet et ses bateaux prêts à venir les secourir. On n’a qu’une envie : JOUER !
Chaque joueur dispose d’un bateau aux capacités spéciales (ci-dessus le mien), sur lequel il va emporter des ours blancs (capacité de 2 pour le mien) et avec lequel il va sillonner les mers arctiques pour glaner les précieuses données scientifiques (vitesse de 3 pour le mien). Un résumé du tour de jeu figure en haut et deux possibilités d’amélioration sont proposées (qu’on obtient toutes les 3 données collectées, enfin à raison d’une pour le groupe de joueurs…). En ce qui me concerne, mes améliorations sont identiques et rajoutent chacune une action par tour (chacun en a 3 normalement)…
Ci-dessus, mon premier tour effectué, avec une première action pour avancer d’une case, une autre pour charger un papa ours (depuis la tuile 19) et une troisième pour en charger un autre (depuis la tuile 18). Les deux papas ours ont été placés sur ma fiche de bateau. Comme vous le voyez, chaque tuile accueille plus ou moins d’ours au départ (déterminé par la règle en fonction de la couleur de la tuile) et il faut être vigilant pour, qu’en cas de naissances, tous les ours puissent survivre (capacité maximale de 3 par tuile) en nageant, au pire, sur une tuile adjacente.
Nous jouons cette très sympathique partie de découverte à 3 joueurs, Yohel, Ludivine et moi. Non, Leila ne joue pas, mais elle s’y croit vraiment quand même en manipulant les petits ours magnifiques…
Le système de montée de la température est le suivant : en fin du tour de chaque joueur, un dé est lancé avec des valeurs de 2 à 5 (augmentation de degrés) et si le marqueur atteint ou dépasse le numéro de la tuile menacée (ici la 17), celle-ci coule avec ses occupants (la tuile est défaussée), à moins que ceux-ci puissent remonter sur une tuile adjacente. Ensuite, on fait baisser la température de 5° et on pioche aléatoirement un autre numéro de tuile (donc, ici, le marqueur ne va redescendre qu’à la température de 14°, et vous imaginez bien que ça va être chaud en fonction du nouveau numéro sorti).
Petite vue de mon bateau avec ses 2 papas ours en attente d’être déchargés sur une base avec hélicoptères…
Vue générale en fin de premier grand tour de table, sans qu’on ait perdu le moindre hélicoptère (on en avait 6 au départ), sachant qu’on en perd un à chaque noyade d’ours et qu’on perd tous la partie si on ne peut pas en retirer lorsqu’un ours se noie… Ça paraît dur ce truc… Et encore je ne vous ai pas parlé de la reproduction folle des ours !!! 😉
Oh, il se noie le pauvre ourson… 🙁 Et nous, on perd un hélicoptère !
Puisque nous avons collecté 3 jetons de données scientifiques (les fameuses Data), finalement le but du jeu (il nous en faut 20 pour gagner la partie), l’un de nous améliore son bateau et nous optons collectivement pour celui de Ludivine car elle pourra piocher et réaliser les effets de deux cartes de support, au lieu d’une, à chaque fois que son bateau s’arrête sur une balise. Ça nous a paru assez évident et puissant. A voir car on joue assez mal quand même… 😉
La banquise s’est déjà pas mal fractionnée et on n’a que trois jetons de données (en haut à droite). S’y prend-on comme des manches ? En tout cas, on a déjà compris qu’on pouvait faire comme des ponts à proximité des bases (en haut), afin de vider les tuiles adjacentes sans déplacer son bateau. Non, mais quand même ! 😉
Le jeu nous plaît beaucoup, autant pour son thème fort, son entente coopérative à avoir, que son matériel vraiment très agréable et immersif…
Ne cherchent-ils pas de l’aide ces pauvres ours ? En même temps, ils exagèrent quand même, il faut bien le dire. En effet, à chaque tour, ils se reproduisent ! On jette un dé à 20 faces désignant une tuile, donc, et on fait se reproduire les adultes qui s’y trouvent, à raison de deux bébés à la fois, donc au moins un de trop pour la capacité de la tuile, voire on faire grandir tous les bébés qui y sont déjà (ils deviennent adultes et, évidemment, de sexe non présent si possible). Si on ne peut pas ? On ajoute 1° sur le dé de température à venir ! Dur, dur, je vous disais… 😉
Tiens, un sympathique carte de support pour déplacer l’une de nos bases d’un maximum de deux hexagones…
Aïe, aïe, aïe, ça sent le roussi, les trois petits vont se retrouver ensemble, mais pour combien de temps, sachant que le marqueur de tuile menacée, à droite, montre que la tuile est saturée…
Bon, cette fois c’est fini, la partie est perdue avec une ultime noyade d’un ours et notre score est de 7 (nombre de jetons de données). Allez, forcément, on va écouter Yohel et y rejouer de suite, en procédant à un petit échange d’un joueur, Romain remplaçant Ludivine.
Nouvelle mise en place, donc, avec un hasard assez pernicieux puisqu’il nous laisse océanique quasiment toute la partie nord du plateau. Pour le reste, à savoir qu’on a changé de bateau, toujours pioché aléatoirement, et que Yohel a tiré le vert, Romain le rouge que j’avais lors de la première manche et moi-même le bleu qu’utilisait Ludivine. Allez, on retourne au Pôle, à tout à l’heure…
Fin de premier grand tour de jeu et, là, on s’est clairement dit qu’on allait aller chercher de la Data ! Oui, on va cibler d’abord ça, tout en privilégiant mon amélioration pour réaliser deux cartes au lieu d’une à chaque arrêt sur une bouée. Voilà nos deux axes de jeu.
Quand on joue deux cartes à la fois, ça change les choses quand même… Ci-dessus, j’ai déjà transféré l’une des bases pour la rapprocher du centre, et aussi déplacé un hexagone de banquise d’une case pour ouvrir un passage. Très utile…
Oui, oui, ça cogite… En même temps, avec ces deux spécimens, on ne s’attendait pas à autre chose… 😉
Aïe, le marqueur de température vient d’atteindre une nouvelle fois le n° d’une tuile menacée de fonte et elle va donc fondre, la tuile n° 8 avec 3 ours dessus, dont un qui va se noyer… 🙁
Ça c’est du bon tirage : le marqueur n°20 ! Ça va laisser le temps de réfléchir et d’avancer avant qu’on y arrive. En revanche, lorsqu’il y sera, ça va saigner, probablement, plusieurs tours de suite…
Bon, un bon petit -6° et ça devrait beaucoup mieux aller… 😉
On est clairement plus efficace que tout à l’heure : déjà 12 tuiles de Data sur les 20 requises pour l’emporter.
Oh la carte de gros bourrin !!! Je vais pouvoir charger jusqu’à 4 ours pour un affaiblissement d’une case de déplacement. Nickel, ça va clairement aider…
Sauf si on joue comme des brêles, on va la gagner cette partie !!!
Plus qu’un jeton de Data à aller chercher et c’est Yohel qui va s’y rendre, sachant que les morceaux de banquise restants sont de plus en rares. 🙁
Go go go !
Et voici comment on gagne notre deuxième manche ! Belle victoire MAIS MAIS MAIS… entachée d’une erreur de règle, tout comme la première manche d’ailleurs, car on aurait dû systématiquement remplacer un bébé par un adulte de sexe non présent sur la tuile, même si celui-ci était déjà présent (donc pas grandi ce tour). Je ne sais même pas s’il est possible de gagner, mais, en tout cas, ça redonne du challenge !
Durée de la partie : 1 heure 15 minutes par partie – Note de cette partie : 18 / 20
Scores de la première partie :
Bilan
Yohel (bateau ocre) + Ludivine (bateau bleu) + Ludo le gars (bateau rouge)
défaite avec 7 jetons de Data
Scores de la deuxième partie :
Bilan
Yohel (bateau vert) + Romain (bateau rouge) + Ludo le gars (bateau bleu)
Victoire avec 20 jetons de Data
Bilan synthétique :
On a beaucoup aimé
– En tout premier lieu, la qualité super attractive des composants !
– La modularité et, donc, le renouvellement des parties,
– Le thème du sauvetage des ours polaires et de la fonte de la banquise, vraiment bien rendu,
– La tension qui monte et les dilemmes qui s’installent, progressivement,
– Les échanges de discussion pour savoir quelle conduite globale tenir…
On a moins aimé
– Le hasard pour certains, j’imagine,
– L’effet leader qui peut s’exprimer…
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BURGLE BROS
Alors, celui-là, je l’avais repéré même avant le salon d’Essen, convaincu que ça pouvait être un thème immergeant. Bingo ! Ci-dessus, la boîte du jeu, au look si particulier et accrocheur. En arrière-plan, vous apercevez l’immeuble en 3D mais, autant vous prévenir tout de suite, il n’est pas livré dans la boîte malheureusement ! Du coup, soit vous le construisez vous-même (ce que j’ai fait), soit vous essayez d’en trouver une copie sur internet (pas facile facile)…
Sur chaque étage de la banque se trouve un garde qui fait sa ronde entre sa case de départ (tirée au hasard au départ) et sa case d’arrivée (tirée au hasard aussi et symbolisée ci-dessus par le dé orange affichant 2, la capacité de déplacement du garde par tour). Les tuiles sont face cachée car on ne sait quelles pièces s’y trouvent. Les bâtonnets représentent les murs et créent des couloirs (fixés par la règle de mise en place). Enfin, les joueurs entrent par l’escalier venant du sous-sol (jeton gris) et tentent de se dissimuler au maximum. Pour le moment, seul Pierre, notre acrobate rouge, est entré en jeu…
Oui, ça a de la gueule cet immeuble de trois étages, je sais et en suis bien content 😉 En même temps, je ne vois pas bien comment jouer à ce jeu sans cet édifice offrant une bonne vision 3D : à plat sur la table, je n’y crois guère… Comme vous le voyez, nous découvrons ce jeu à 4 joueurs, Yohel avec The Juicer en violet, Romain avec The Rook en gris, Pierre avec The Acrobat en rouge, et moi-même en vert avec The Hacker.
En tant que Hacker, je ne déclenche pas les alarmes des types suivants « Fingerprint », « Laser » et « Motion Tiles ». Sur la droite, vous avez un aperçu du tour de jeu d’un joueur : réaliser jusqu’à 4 actions parmi les suivantes (se déplacer, regarder, hacker un ordi, ajouter un dé à un coffre, lancer les dés d’un coffre), piocher un événement si 2 actions ou moins ont été faites, déplacer le garde selon un algorithme sur lequel je reviendrai. Au-dessus de mon personnage, vous voyez mes 3 jetons de masque, que je peux défausser lorsque je me retrouve sur la case d’un garde pour qu’il ne me voie pas.
Pierre a joué son tour et le garde s’est déplacé : ça va craindre !!! Il faut dire qu’il n’a pas eu de chance en regardant les tuiles adjacentes : soit des alarmes soit des tuiles très difficilement accessibles…
Un peu plus tard après que Pierre a dû défausser un jeton de masque… Le souci, c’est qu’il va repasser dans l’autre sens !
Oui, on se prend clairement au jeu, ça respire le jeu thématique à fond et on se sent dans ce fichu immeuble où il y a décidément trop de gardes !
Les cartes événements, qui ne sortent que si on ne réalise qu’une ou deux actions à son tour, sont souvent bénéfiques mais on peut parfois se faire surprendre par l’inattendu de celles-ci. Ci-dessus, ça se passe plutôt bien…
Ah, celle-là de carte, on l’a bien aimée ! En effet, le garde sort de notre champ de vision et regagne la pile de cartes. Il reviendra au tour suivant, certes de manière aléatoire, mais au moins on aura été tranquilles un tour…
Mais ça monte… En effet, Pierre accède au deuxième étage, après avoir trouvé l’escalier pour y monter, mais sans qu’on ait ouvert le coffre du premier. Cela a pour effet de mettre en service le garde du deuxième, lequel se déplace de 3 cases par tour…
Ca bosse à mort au rez-de-chaussée avec le coffre trouvé et pas moins de 5 dés dessus pour en ouvrir la combinaison. Celle-ci correspond aux valeurs des 6 cartes des lignes et des colonnes qui partent de la case du coffre (valeur inscrite dans un coin de chaque carte). Lorsqu’un joueur décidera de lancer les dés, il devra obtenir toutes les valeurs des cartes en question (on peut y passer plusieurs tours, à condition d’y remettre des dés et de les relancer).
Allez, c’est parti, Yohel lance les dés !
Quel travail d’orfèvre ! Les 6 cartes ayant reçu marqueur vert de déchiffrage, le coffre est ouvert et Yohel va donc récupérer le contenu du coffre… Et ça va aussi booster le garde qui gagnera 1 en déplacement…
Les récompenses de Yohel sont fantastiques : des donuts pour appâter et retarder les gardes, ça d’accord, mais aussi un miroir absolument pourri, lequel va le pénaliser d’une action (quel narcissique !) mais lui éviter de déclencher les alarmes de type Laser. C’est pas payé…
Nous explorons à fond le deuxième étage à présent, même si Yohel et Romain stagnent un peu en bas…
Ouh… Il fait peur ce garde du niveau 2… Surtout qu’il va droit sur l’escalier où se trouve Romain !
Quel bon moment… Rien que de revoir les photos, je m’y crois encore !
Pierre est planqué au rez-de-chaussée, avec 0 jeton de masque il n’a plus aucun joker et si un garde le voit on a tous perdu, mais pendant ce temps on tente d’explorer bien comme il faut le deuxième étage…
Nous nous retrouvons tous au deuxième étage et comme le coffre est découvert et toutes les tuiles en ligne et colonne, il va falloir y mettre des dés, sans oublier d’aller dénicher où est ce fichu escalier pour monter plus haut… Quant au garde, il ne devrait pas me rater 🙁
Oh oh, je m’apprête à monter au troisième étage…
Dire que ça parle, ça discute, ça échange, est un euphémisme…
Nous sommes à présent organisés en deux équipes : Yohel et Pierre au deuxième étage pour y craquer le coffre, Romain et moi au troisième pour y localiser le dernier coffre et l’escalier pour aller sur le toit ! Ce jeu est la synthèse, l’essence de notre journée thématique puisqu’il est à la fois coopératif ET par équipes ! 🙂
Utilisation judicieuse des fameux Donuts de Yohel…
Nous avons localisé le troisième coffre dans une très profitable et sécurisée impasse. Ouf ! Du coup, j’en renforce la protection en y plaçant des nuages de fumée propices à une bonne dissimulation (3 jetons de masques arrivent dessus)… A noter que Romain est planqué dans les chiottes et profite d’un avantage similaire. 😉
Coffre craqué au deuxième étage ! Yes, bravo les mecs…
Les récompenses glanés dans le coffre du deuxième étage sont à nouveau pour notre boulet (euh… Yohel ! 🙂 . Il dispose à présent d’une bombe thermique créer un escalier où bon lui semble ça c’est cool, et aussi d’une carte magnétique mais très pénible puisque la présence de Yohel est requise pour tout lancer de dés pour cracker un code de coffre ! Et dire qu’on allait le faire le même tour avec Romain et qu’on va devoir l’attendre…
Oulhala, on n’avait pas vu le coup venir : le garde arrive sur la case de Yohel, lequel n’avait plus de masque, et on perd la partie !!! si vous regardez le nombre de dés dans la salle du coffre ci-dessus, vous comprendrez facilement notre frustration…
Oh, la vilaine douche froide ! Alors qu’on s’y croyait, on se fait rattraper in-extremis par le garde du niveau 3… On reviendra, oui, on reviendra…
Durée de la partie : 3 heures 30 minutes – Note de cette partie : 19 / 20
Scores de la partie :
Bilan
Yohel (jaune) + Romain (gris) + Pierre (rouge) + Ludo le gars (vert)
Défaite juste avant d’ouvrir le 3ème coffre
Bilan synthétique :
On a beaucoup aimé
– L’immersion totale dans le jeu, servie par des cartes et un look très thématiques, un immeuble en 3D qui fait qu’on s’y croie, une montée en puissance des prises de risque (les jetons masques s’amenuisant), …
– La taille de la boîte qui ne laisse pas soupçonner un jeu d’une telle envergure thématique (un peu comme Les Poilus),
– La logique de déplacement des gardes, lesquels vont soit à leur but initial, soit en direction des alarmes déclenchées par les joueurs (intentionnellement parfois !),
– Le temps qu’on ne voit pas passer…
– L’ambiance globale autour de la table : une très grande réussite !
On a moins aimé
– La langue anglaise, omniprésente, pour ceux que ça pourrait gêner, même si tout peut être lu collectivement sans problème,
– La quasi-nécessité de se procurer un immeuble en 3D (à faire ou à acheter),
– La durée de la partie de ce soir, démesurée, même si j’ai un doute de ne pas m’être trompé quand même…
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J’avais hésité sur Rescue Polar Bear chezTBD à Essen… dommage pour moi
Burgle Bros est très sympa dans son genre mais tu te fais vite rouler dessus, les parties sont dures à gagner. En tout cas le jeu est difficile à trouver sauf en import…
Oui mais il est commandable sur le site de l’éditeur et ne revient pas très cher d’après ce que j’ai vu. Par contre, la tour en 3D, clairement attractive et immersive, soit il faut se la fabriquer, soit il faut tenter de l’acheter mais ça a l’air plus dur.
Je te remercie en tout cas de ce commentaire, et de tes nombreux autres, ils me font du bien et du plaisir, ils sont si rares… 🙁
A+ et bonne fin d’année,
PS : si tu passes par chez nous, n’hésite pas, on pourra se faire au moins un Rescue Polar Bears… 😉
Je te lis et je te suis avec ta famille (qui grandit vite… où c’est nous qui vieillissons vite) depuis de nombreuses années mais c’est vrai que je ne prenais pas le temps de commenter tes CR.
Cette année j’ai décidé de réparer ces oublis… et je pense aussi qu’ils sont là pour t’encourager à poursuivre ^^ (je te rassure sur Jedisjeux on n’a pas non plus beaucoup de commentaires sur nos articles !)
Pour le PS, Merci pour l’invite mais Villefranche Sur Saône ça fait un peu loin. Je pense plutôt te croiser et te saluer au FIJ, je suis un Loup cal de l’étape ludique ^^
je suis un « local » de l’étape ludique cannoise…
OK alors, rdv au FIJ (si j’y vais, ce qui n’est pas certain cette année).