[10/03/2011] Skull & Roses

Le tout récent As d’Or / Jeu de l’année 2011, Skull & Roses, était de sortie sur notre table en cette après-midi de vacances scolaires. Nous avions envie d’un jeu simple, fun, tendu, jouable juste après le repas et pas trop long. Je propose, donc, sans une pointe d’hésitation, ce jeu que je n’avais pas ressayé depuis le Festival des Jeux.
Et bien, tout comme là-bas, on a passé un très bon moment…

 

SKULL & ROSES :

 


Y’a pas à dire : le look de ce jeu est pour le moins space mais il me plaît bien ! On a affaire à un crâne plutôt curieux d’ailleurs, avec des dents assez pointues, des orbites et
une une cavité nasale en forme de gouttes et, surtout, 6 doigts à chaque main…

Julie a pris les sous blocks des Eagles, Tristan ceux des Panthers, Maitena ceux des Himself (ça lui va bien en ce moment 😉 , Gérard ceux des Loups garous, quant à moi je suis
resté fidèle aux Snakes que j’avais déjà pris à Cannes…

Relevant le défi lancé par Gérard avec 2, je le prends à 3 et je suis donc contraint de retourner 3 sous-bocks sur les 5 joués sans trouver de Skull. Connaissant mon paternel, je
sens bien le coup du Skull joué malgré son défi initial, du coup, après avoir retourné mon sous-bock je retourne celui de julie puis celui de Maitena. Oh la vilaine, elle a mis un
Skull

Après que j’ai perdu une de mes cartes, la partie se porusuit dans une très bonne ambiance, Julie ayant toutes les peines du monde à « bien » bluffer (mais ça on s’en doutait) et
Gérard et les enfants s’éclatant bien comme il faut…

Extrêmement coui_ _ u mon gone : il lance un défi à 5 alors que 7 cartes sont sur la table !

Après avoir réussi à en retourner 4, il hésite pas mal entre le sous-bock de Maitena et celui de Gérard, ayant visiblement renoncé à retourner le mien. Il réussit son défi : joli !

Chacun reprend ses cartes et Tristan est à présent le seul à avoir réussi un défi : plus qu’un et c’est gagné pour lui !

Il est très malin le Tristan. En effet, il réussit le tour de force d’annoncer 3, à laisser monter sa soeur à 4, avec 5 cartes sur la table précisons-le. Confiante, Maitena retourne
la carte de Tristan et, bing, un Skull !!!

Franchement, mon fils m’épate ! Non content d’avoir participé à la chute irrémaidable des cartes de sa soeur (plus qu’une), il se lance dans un nouveau défi à priori difficile.
Suite à l’annonce de Maitena de 1, suivie de mon annonce à 3 (sur 5 cartes), il monte à 4…

Je pensais que Maitena avait joué un skull (sa dernière carte) puisque son annonce était très basse (1), mais non ! Du coup, Tristan réussit son deuxième défi et remporte très
brillamment cette partie sans que personne d’autre n’ait réussi le moindre défi…
Bilan synthétique :

On a aimé
– Le look général des cartes et leur côté tactile très sympa,
– Le fun et la tension du jeu, avec un système ultra-simple et très facile à expliquer,
– Un certain côté universel du jeu
puisqu’il a plu à toutes les personnes avec qui j’y ai joué jusqu’à présent.

 

On a moins aimé
– ?

 

Scores de la partie en deux manches :

 

Julie (Eagles) : 0 défi réalisé
Tristan (Panthers) : 2 défis réalisés
Maitena (Himself) : 0 défi réalisé
Gérard (Loups garous) : 0 défi réalisé
Ludo le gars (Snakes) : 0 défi réalisé
Note du jeu (sur cette partie) :   15 / 20

 

Durée de la partie : 30 minutes

 

 

 

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7 commentaires à propos de “[10/03/2011] Skull & Roses”

  1. il y a une chose curieuse avec ce sujet, qui m’interpelle… »toutes les personnes avec lesquelles j’ai joué ont aimé ». Très bien. Je lis ça surtout chez les défenseurs acharnés du jeu..quant à moi,
    qui suis neutre avec tout de même une bonne disposition, je n’ai rencontré pour l’heure qu’une totale incompréhension, une déception rédhibitoire et n’ai conquis, sur une trentaine de personnes,
    aucun joueur, en précisant que c’est mon boulot de jouer et faire jouer… Curieux, non, cette ligne de partage absolue ? Alors, je ne remets pas en cause la sincérité de votre expérience, mais je
    me demande dans quelle mesure vous n’embellissez pas un peu les choses pour « compenser », même inconsciemment, le nombre élevé d’impressions très négatives(et chez toutes sortes de joueurs, des
    amateurs découvrant le monde du jeu aux professionnels du jeu).. Ceci dit, des expériences positives futures m’inciteront peut-être à revoir mon jugement..n’empêche que…

  2. Je ne pense pas que Ludo dise du bien du jeu pour faire plaisir aux auteurs. Le jeu lui convient, ainsi qu’à son cercle de joueurs habituels, point. Les avis et critiques qu’il indique à la fin
    de chacun de ses comptes rendus, comme il le rappelle souvent, n’engage que lui.

  3. loin de remettre en cause l’impartialité, mais disons que certains mots comme « universalité » laissent parfois pantois, appliqués de manière aussi péremptoire, lorsqu’ils sont en contradiction avec
    d’autres larges expériences. Personnellement, S&R ne me déplait pas du tout, seulement, je suis étonné de constater combien il laisse froid voire indifférent toutes sortes de publics. le
    contraste m’a ici frappé. 🙂

  4. il y a une chose curieuse avec ce sujet, qui m’interpelle… »toutes les personnes avec lesquelles j’ai joué ont aimé ». Très bien. Je lis ça surtout chez les défenseurs acharnés du jeu..quant à moi,
    qui suis neutre avec tout de même une bonne disposition, je n’ai rencontré pour l’heure qu’une totale incompréhension, une déception rédhibitoire et n’ai conquis, sur une trentaine de personnes,
    aucun joueur, en précisant que c’est mon boulot de jouer et faire jouer… Curieux, non, cette ligne de partage absolue ? Alors, je ne remets pas en cause la sincérité de votre expérience, mais je
    me demande dans quelle mesure vous n’embellissez pas un peu les choses pour « compenser », même inconsciemment, le nombre élevé d’impressions très négatives(et chez toutes sortes de joueurs, des
    amateurs découvrant le monde du jeu aux professionnels du jeu).. Ceci dit, des expériences positives futures m’inciteront peut-être à revoir mon jugement..n’empêche que…

  5. loin de remettre en cause l’impartialité, mais disons que certains mots comme « universalité » laissent parfois pantois, appliqués de manière aussi péremptoire, lorsqu’ils sont en contradiction avec
    d’autres larges expériences. Personnellement, S&R ne me déplait pas du tout, seulement, je suis étonné de constater combien il laisse froid voire indifférent toutes sortes de publics. le
    contraste m’a ici frappé. 🙂

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