Jamais deux sans trois ! A croire qu’on avait emporté un seul jeu en vacances… En même temps, un jeu d’une telle richesse que ce Ur méritait bien que l’on y revienne encore. Quelle partie mes amis !
UR
Oui, oui, c’est bien de notre troisième partie d’affilée que l’on parle !D’abord, renforcer ses bases…Oui ça fait du monde prêt à partir à la guerre…Et voilà, on y est : c’est MA case centrale ! 🙂Bon, il faut quand même y aller, alors je regroupe deux fois 5 cubes verts pour placer deux ziggurats dans le même tour…Julie réussit une série complète de couleur + une petite de deux…
Nos trois premiers cubes ont été placés sur le plateau. Julie est très ambitieuse, plaçant son premier cube en plein centre ! Elle sait déjà que la partie sera donc violente : comment pourrais-je accepter de m’exiler sur les bords ? 😉Voilà, ça ça marche bien…Ca commence à inquiéter Julie visiblement…Je crois que je n’ai jamais vu un tel développement réparti dans ce jeu : 14 cases pour moi ! C’est presque trop pour 1/ être fort partout 2/ pouvoir construire des ziggurats…Fin de partie après la construction de la dernière ziggurat…Mes trois séries avec une seule complète finalement, ce qui ne me permet pas de faire un score à la mesure de cette partie exceptionnelle…
Durée de la partie : 1 heure 15 minutes – Note de cette partie : 18 / 20
Scores :
Séries
Total
Julie (blanc)
21+3
24
Ludo le gars (vert)
21+15+3
39
Bilan synthétique :
On a beaucoup aimé – L’envahissement de presque toutes les cases par votre serviteur : une partie atypique !
– La violence du jeu parfois...
On a moins aimé – La détresse de Julie qui me dit qu’elle ne pense pas pouvoir faire mieux 🙁
J’aime énormément ce jeu aussi, un des premiers de ma collection « jeux de société modernes » démarrée il y a environ 10 ans. Une merveille de jeu abstrait (dans le meilleur sens du terme), qui sort hélas très peu souvent en raison même de son abstraction. Je suis certainement un iconoclaste, mais je pense que c’est le meilleur de Paolo Mori, en dépit de tout ce qu’il a produit ensuite.
J’aime énormément ce jeu aussi, un des premiers de ma collection « jeux de société modernes » démarrée il y a environ 10 ans. Une merveille de jeu abstrait (dans le meilleur sens du terme), qui sort hélas très peu souvent en raison même de son abstraction. Je suis certainement un iconoclaste, mais je pense que c’est le meilleur de Paolo Mori, en dépit de tout ce qu’il a produit ensuite.