Et un nouveau podcast sur le site, avec un thème philosophique comme le titre vous le laissera facilement deviner…
Une fois encore, j’attends avec impatience vos retours et commentaires, le sujet le mérite à mon humble avis !
Le titre alors ? Le jeu « jeu » et le jeu « objet » !!!
Ça vous vend du rêve non ? 😉
Le lien pour l’écouter tout de suite :
Pour le télécharger et l’écouter plus tard (clic droit sur l’image suivante et « Enregistrer la cible du lien sous ») :
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A noter que la musique d’intro et de final est du super génialissime groupe Rue de la Muette, lequel a sorti plusieurs albums que j’aime écouter régulièrement…
Pour la musique d’intro, on a affaire à « Mon joli carrosse » écoutable ici : Mon joli carrosse. Merci à Patrick Ochs pour son autorisation d’utilisation.
Merci pour ce podcast Ludo. Sujet passionnant et presque métaphysique aux entournures. Distinction entre un matériel (généralement une boîte en carton avec des éléments à l’intérieur) et l’expérience ludique qu’il propose, les deux n’étant pas forcément d’un même niveau qualitatif, loin s’en faut. Pour ma part, je suis assez peu sensible à l’effet de gamme (que tu évoques à propos des jeux Alea). Par contre, j’aurais davantage tendance à vouloir systématiquement acquérir tous les titres d’un même auteur histoire d’explorer à fond son travail (Friedemann Friese étant l’exemple parfait en ce qui me concerne). Je peux aussi tomber amoureux d’un certain type de matériel (là je vise surtout le jeu abstrait). Je me rends compte aussi que je suis friand de certains formats de boîtes bien précis comme ces petits jeux de cartes très compacts (format Coloretto,, Mamma Mia, Schotten-Totten ancienne version, Famiglia, etc.) qui me réjouissent et m’impressionnent toujours de par leur rapport taille (réduite) / expérience ludique (ultra généreuse). Voilà pour mes quelques réflexions à brûle-pourpoint.
Merci pour ce long commentaire étayé.
Tu as raison au niveau des auteurs de jeux et je m’en veux d’avoir négligé cet aspect dans cet opus (un autre à faire peut-être ?). En effet, je suis ultra-friand, moi aussi, de parcourir l’œuvre des auteurs que j’affectionne, particulièrement ceux qui ont une « patte » : Friedemann Frises (tu l’as cité), mais aussi Martin Wallace, Doris & Frank ou encore Wolfgang Kramer. Passé un temps, je frisais la démence en allant farfouiller au fin fond des stands d’occas’ à Essen pour découvrir les perles quasi-inconnues de Kramer : Das Phantom ou Nibelungen par exemple… 😉
Pour les jeux abstraits, moi aussi je suis friand des jeux au matos top classe, à la Clemens Gerhards…
En tout cas, merci pour ton retour…