Enfin une découverte d’un nouveau jeu ce soir, avec un jeu que j’avais, je l’avoue, un peu laissé traîner depuis Essen 2018 et, pourtant, le thème me branchait à fond ! J’avais même hésité à l’emporter sur l’Île d’Oléron avec Leila, c’est dire…
Au final, en ce moment, comme je suis en train de tenter de jouer à certains jeux non encore essayés (même si les comptes-rendus de parties ne le prouvent pas forcément), je me dis « Tiens, lisons enfin cette règle que je n’avais pas réussi à lire précédemment ». Et là, le grand déclic : limpide et très attractive, logique, parfaite en somme pour que Leila et moi découvrions ce Fine Sand en ce mercredi, non jeudi !, après-midi…
FINE SAND
Durée de la partie : 1 heure – Note de cette partie : 16 / 20
Scores de la partie :
Cartes en main
Pioche
Défausse
Pièces
Total
Leila (orange)
2
4
8
0
14
Ludo le gars (vert)
0
0
5
0
5
Bilan synthétique :
On a beaucoup aimé – L’originalité de ce jeu de unbuilding deck, même si on connaît moult jeux où il faut épuiser sa main de cartes ! 😉
– Les actions hyper simples et, pourtant, laissant augurer de belles parties bien renouvelées,
– Les deux niveaux de règles, voire les trois si je tiens compte de la règle avec le Fable system si cher à l’auteur, (mode campagne solo très titillant…),
– L’envie d’y revenir car, franchement, on s’est juste régalés en mode de base…..
4 commentaires à propos de “[12/09/2019] Fine Sand”
J’ai justement fait l’acquisition du jeu il y a quelques jours et compte bien le creuser pendant les vacances d’automne. Il a l’air rudement malin.
Merci pour ce compte-rendu !
J’ai pratiqué le jeu : pas moins de 6 parties la semaine dernière avec mon épouse (en mode standard). On a trouvé ça très plaisant. C’est simple et astucieux en diable. Décidemment, j’apprécie beaucoup les variations de Friedemann Friese autour du deckbuilding.
Merci de ce retour ! Ca me conforte dans l’idée :
-1- Que le jeu mérite le détour et pourrait bien nous suivre en vacances à l’été 2020
-2- Que ce Friedemann est une sorte de génie de la création ludique.
A noter que l’action jaune qui permet de décharger une carte chez son voisin est vraiment cruciale, même si on se s’en rend pas forcément compte au début.
D’un côté, elle permet de se débarrasser d’une carte (et ça peut parfois faire la différence en fin de partie) mais, de l’autre, elle nous fait aussi perdre une carte … qui pourrait nous servir ultérieurement. Le choix est toujours ardu.
Sinon, j’ai hâte de (re)découvrir le jeu en y injectant progressivement les cartes fable / fabulosa. La version de base étant déjà très réjouissante, c’est prometteur !
Et je suis complètement d’accord avec toi : Friedemann Friese est un génie du ludique. Il a une façon de concevoir les jeux qui n’appartient qu’à lui, une vraie patte d’auteur.
J’ai justement fait l’acquisition du jeu il y a quelques jours et compte bien le creuser pendant les vacances d’automne. Il a l’air rudement malin.
Merci pour ce compte-rendu !
J’ai pratiqué le jeu : pas moins de 6 parties la semaine dernière avec mon épouse (en mode standard). On a trouvé ça très plaisant. C’est simple et astucieux en diable. Décidemment, j’apprécie beaucoup les variations de Friedemann Friese autour du deckbuilding.
Merci de ce retour ! Ca me conforte dans l’idée :
-1- Que le jeu mérite le détour et pourrait bien nous suivre en vacances à l’été 2020
-2- Que ce Friedemann est une sorte de génie de la création ludique.
😉
A noter que l’action jaune qui permet de décharger une carte chez son voisin est vraiment cruciale, même si on se s’en rend pas forcément compte au début.
D’un côté, elle permet de se débarrasser d’une carte (et ça peut parfois faire la différence en fin de partie) mais, de l’autre, elle nous fait aussi perdre une carte … qui pourrait nous servir ultérieurement. Le choix est toujours ardu.
Sinon, j’ai hâte de (re)découvrir le jeu en y injectant progressivement les cartes fable / fabulosa. La version de base étant déjà très réjouissante, c’est prometteur !
Et je suis complètement d’accord avec toi : Friedemann Friese est un génie du ludique. Il a une façon de concevoir les jeux qui n’appartient qu’à lui, une vraie patte d’auteur.