Participants
– Romain, marine rouge, extrêmement motivé par ce jeu car grand connaisseur du jeu PC du même nom,
– Patrick, marine bleu, qui découvre ce jeu en même temps que l’ambiance du jeu PC,
– Olivier, joueur envahisseur, modéliste qui a bien senti le coup en venant nous voir ce soir 🙂
– Ludo le gars, marine vert, votre serviteur.
Déroulement de la partie
Franchement, des jeux j’en ai un paquet et j’en ai testé un sacré nombre, mais jamais, ô grand jamais, je n’avais été en présence d’un jeu qui était aussi lourd et aussi rempli : la
boîte peine à fermer alors que le contenu est à peu près rangé comme un puzzle ! Incroyable mais vrai…
Histoire de voir si le jeu est aussi bon que la boîte est pleine, je souhaitais le tester assez vite et même pas plus tard que ce soir, lors de la soirée hebdomadaire des Ludophiles à Rochetaillée. Avec la visite d’Olivier, un adhérent du club de modélisme de la commune, nous allons donc disposer d’un maître envahisseurs fortement motivé pour nous infliger
de périlleuses aventures dans le dédale du premier scénario du livret.
Romain, Patrick et moi-même jouons donc les 3 pauvres marines enfermés dans l’UCA lorsque l’alarme rouge se met en branle, nous obligeant à tenter de fuir par tous les moyens.
Chacun prépare son personnage et tire 2 capacités spéciales : en règle générale, nous aurons soit plus d’armure (Ludo), soit plus de points de vie (Romain, Ludo), soit des capacités liés à un meilleur combat (Romain, Patrick). La partie peut débuter dès qu’Olivier en a terminé avec la mise en place initiale et la lecture de l’introduction du scénario.
|
|
Décompte final
Durée de la partie (non terminée) : 2 heures
45 minutes – Mise en place du jeu : 20 minute – Explication des règles
: 20 minutes
Olivier mène la partie avec 4 points de frag collectés sur les
6 nécessaires à sa victoire.
Débriefing
Doom est un jeu bourrin qui marche très bien. On aime ou on aime pas,
c’est certain, mais dans ce genre de jeu il est très réussi, c’est
indéniable. Le matériel est somptueux, le rendu est saisissant
et on imagine que peintes, les figurines doivent donner une allure exceptionnelle
à l’ensemble.
Au niveau des mécanismes, on a affaire à un jeu assez répétitif
maheureusement, mais il est très fun et on se bastonne bien comme il
faut. En quelque sorte, si je puis dire, on a un jeu à la Dungeon
Twister mais celui-ci ne trompe pas sur la marchandise : il est fun et on
peut tenter de gros coups. Ceci dit, vous l’aurez compris, je préfère
le côté stratégique de Dungeon
Twister au côté grosbill de Doom. Mais il en faut pour tous
les goûts, et je suis sûr qu’il va trouver son public… Quand je
vois le plaisir qu’a pris Olivier à jouer à ce jeu, je me dis
que celui-ci est vraiment une réussite.