Lorsque nous avions découvert ce jeu, fin décembre 2017 (compte-rendu ici), nous avions estimé que Leila était trop jeune pour participer à la partie de ce jeu coopératif un peu hors norme, à savoir protéger les petits enfants des cauchemars. 1 an et demi a passé et, cette fois, je pense qu’elle peut y aller pour de bon sur ce splendide Dream Catchers. En plus, après avoir essayé brillamment Burgle Bros récemment, elle m’a bien fait comprendre avoir un faible pour les jeux coop’, donc…
DREAM CATCHERS
Elle n’est pas peu fière et impatiente la ch’tiote ! En tout cas, elle comme moi, on trouve vraiment le jeu magnifique au niveau de ses illustrations et de son thème tout mignonnet…Nous décidons d’aider Diana à dormir paisiblement… A noter que sa spécificité est d’accélérer le temps lorsqu’un monstre est capturé. Ça va être compliqué !La zone des rêves est aléatoirement constituée de 9 tuiles, avec des beaux rêves, les bleues, et de sombres cauchemars, les roses. Certaines illustrations sont vraiment troublantes voire envoutantes… Comme à chaque fois avec ce jeu, il va falloir utiliser nos cartes pour valider les cartes de beaux rêves ou éliminer les cauchemars (combinaisons indiquées en bas à droite des tuiles).Voilà, par exemple, une tuile qui représente un « manège à couper le souffle » ! N’est-ce pas Leila ? En référence à notre journée à Fraispertuis en 2018… 😉Premières tuiles validées par votre serviteur : un beau rêve bleu avec la combinaison requise de deux cartes (d’où la progression d’une case du marqueur bleu sur la piste des beaux rêves) et un cauchemar à défausser avec la carte jouée (ça ne rapporte rien immédiatement, mais ça évite qu’il y ait trop de cauchemars en embuscade dans la zone des rêves).Au tour de Leila de jouer son tour, en choisissant, déjà, d’échanger une de ses cartes avec une des miennes, histoire de mieux contrer les cauchemars à venir…Fin de deuxième tour de jeu, donc après celui de Leila. Nous avons déjà un premier monstre vert sorti de dessous le lit et il va falloir s’occuper de son cas avant qu’il ne soit trop tard (3 monstres = défaite).Alors que le deuxième monstre était sorti et que le troisième allait arriver dans la foulée, Leila parvient à terrasser le premier, avec ses 3 cartes défaussées et l’obtention d’un jet de dé suffisant. Ouf !Peu après, bis repetita : Leila essaie de détruire l’un des deux monstres de dessous le lit, car, si elle échoue, on aura perdu ! En effet, les monstres se succèdent à vitesse V…Ouf !!! Ça passe encore… En ce qui concerne notre condition de victoire à atteindre (la dernière case rejointe par le marqueur bleu sur la piste de beaux rêves), on n’est pas trop mal. Il faudra juste faire attention à ne pas se faire avoir par le temps qui passe (défaite si temps dépassé) ou encore les cauchemars (mais là, le marqueur rouge semble bien loin)…Parfois, les monstres qui arrivent ne sont pas rigolos du tout : celui-ci élimine pas moins de 4 tuiles de beaux rêves, lesquelles vont être remplacées par d’autres de la pioche, avec tous les risques encourus qu’on imagine bien, comme la progression forte du marqueur rouge en cas de cauchemars qui explosent adjacents à d’autres avec un symbole identique…J’adore absolument cette illustration de cauchemar !!! Pas vous ?Incroyable retournement de situation : le marqueur de cauchemars s’emballe de manière délirante, progressant 4 fois de suite de deux cases (4 explosions de cauchemars lors du remplissage de la zone de rêves). Et, du coup, c’est la cruelle défaite qui s’abat sur nous… 🙁Vue générale finale…Forcément, Diana va beaucoup moins dormir à présent… 🙁
Durée de la partie : 45 minutes – Note de cette partie : 17 / 20
Scores de la partie :
Bilan
Leila + Ludo le gars
défaite !
Bilan synthétique :
On a beaucoup aimé – Le look splendide du jeu, avec moult détails à observer sur chaque illustration et les subtilités inventées pour les cauchemars surtout,
– La simplicité de la règle et de la mécanique de résolution des tuiles,
– La variété des enfants proposés et les personnages incarnés par les joueurs.
On a moins aimé – L’impression que le jeu était hyper difficile, presque trop, avec l’enfant de niveau 2, Diana…
