[17/02/2006] RailRoad Dice 2, Friesen-Törn

Deux nouveaux jeux au programme ce soir, en l’occurence un jeu de train qui est une variation sur le thème baptisée Rail Road Dice 2 (quelle poésie…) et Friesen-Törn, un jeu de stock-boats très chaotique mais plein d’ambiance.

RAIL ROAD DICE 2 :
Smiling Dreamer (bleu) : 35
Laurent (blanc) : 69
Romain (noir) : 42
Ludo le gars (vert) : 56


Dans cette version du jeu, chaque joueur possède une gare personnelle, destination de ses livraisons, et il place également, en début de partie une gare de couleur neutre (grise). Ensuite, chacun essaie de faire transiter un maximum de passagers par sa gare tout en reliant celle-ci à un maximum d’autres gares. Pas facile, le plateau est petit petit…

Après un tour de jeu, chaque joueur a construit une liaison à partir de sa gare, ce qui rapporte 5 passagers à chaque joueur concerné. Mais le tout est de parvenir, par la suite, à relier un maximum de gares de manière directe (c’est-à-dire sans transiter par d’autres gares) et, là, les choses se gâtent et les dés complexes (oranges) seront bien utiles…

Laurent, mon cousin, dispose le premier dé complexe sur le plateau. Il l’a, auparavant, récupéré à partir du stock commun, en choisissant de lancer 1 dé orange + 2 blancs.

Une vue rapprochée du premier positionnement d’un dé complexe, lequel a dû maintenir le réseau en l’état tout en apportant une nouvelle solution.

Le plateau devient très très chargé, mais comme nous nous dirigeons vers la fin de partie, cela n’est pas choquant. A noter que notre erreur lié aux possibilités de transport de passagers génère une partie beaucoup plus rapide que la normale (passagers convoyés par tranches de 5, achats aisés de locomotives, placement sans souci des dés dans les montagnes et dans l’eau, …). Mais on excède quand même aisément les 30-60 minutes indiquées négligemment sur la boîte…

Une vue de la configuration finale du jeu. Laurent a remporté brillamment cette partie, en ayant réussi à emmagasiner des passagers plus tôt dans la partie que les autres joueurs. L’utilisation des dés blancs a été tellement rapide que nous n’avons pas pu mesurer vraiment combien le jeu peut être tendu (place manquante, argent rarissime, …) et il faudra donc nécessairement y revenir, avec la bonne règle sur le transport, pour vivre vraiment le jeu comme il le mérite certainement.

 

Note du jeu : 14 / 20 (extrêmement temporaire : règle à revoir)
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FRIESEN-TÖRN :
Smiling Dreamer (jaune) : 6 jetons verts (4 jetons rouges)
Laurent (rouge) : 14 jetons verts (3 jetons rouges)
Romain (noir) : 11 jetons verts (1 jeton rouge)
Ludo le gars (vert) : 8 jetons verts (5 jetons rouges)
Bateau neutre 1 (blanc) : 4 jetons verts (2 jetons rouges)
Bateau neutre 2 (bleu) : 4 jetons verts (2 jetons rouges)


Un exemple de tour de jeu : chaque bateau a reçu un ordre de mouvement caché de la part du joueur le contrôlant (au hasard pour les 2 neutres). Les cartes sont alors retournées simultanément et jouées dans l’ordre croissant de leur valeur.

Une vue de la configuration une fois le tour de jeu précédent réalisé : comme l’objectif est de taper dans les bateaux adverses, de préférence de côté ou par l’arrière, on a tout intérêt à venir chercher la confrontation…

L’ambiance est particulièrement bonne autour de la table, avec des situations d’esquive assez incroyables et des frappes de dos assez vilaines…

La partie est terminée et Laurent l’a brillamment remportée. Le jeu semblerait plus intéressant si le joueur qui a totalisé 5 jetons rouges, au delà de déclencher la fin de partie, était éliminé du décompte final. Soustraire les jetons rouges dans tous les cas semble aussi une bonne idée…

Note du jeu : 13 / 20
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