Participants
– Serge Laget, oui oui, l’auteur du jeu 😉
– Stéphane, co-organisateur de ce tournoi de Mare Nostrum avec Serge,
– Laurent, qui n’avait pas découvert le jeu depuis trop longtemps mais qui semble « bien dedans »,
– Ludo le gars, votre serviteur.
Déroulement de la partie
Serge Laget, l’inénarrable auteur de Mare Nostrum, a souhaité organiser un tournoi sur son bébé et ce, lors des 24 heures de l’INSA de Lyon, sur le campus de la Doua. Très belle idée qui permettra de se mesurer à une multitude de joueurs motivés et passionnés.
En ce qui me concerne, disons le tout net, mon manque d’expérience sur le jeu va rendre ma soirée périlleuse et difficile, même si le plaisir ludique est vraiment au rendez-vous. Arrivé en début de soirée, je ne participe donc qu’à moitié à ce tournoi, en ne m’intégrant qu’à 2 parties contre 4 pour les joueurs présents depuis le début de l’après-midi. La première partie figure ci-dessous et la seconde est ici.
Lors de cette partie, Serge interprète Téméraire, je me décide
Le jeu ne tarde pas à s’emballer :
Je ne suis pas franchement concerné Il ne tarde pas, en effet, à démontrer
|
Le début de partie me permet de me Comme souvent, d’après les dires
Le pire c’est que je ne sais pas trop comment
J’ai bien essayé, en vain, de susciter Le jeu semble tendre vers sa fin et personne |
Décompte final
Laurent réussit à créer 4 merveilles
avec son peuple romain, devant Serge et Stéphane avec 3 merveilles et
Ludo le gars avec 0.
Débriefing
Un peu tendu avant d’aborder cette partie (il faut dire que la précédente
que j’ai jouée avait laissé des traces : 6 heures de jeu !), je
suis ravi d’avoir renoué avec cette très belle œuvre, même
si je suis un tantinet frustré de m’être « ramassé »
autant (manque d’expérience et méconnaissance des règles).
Je pense que la victoire indiscutable du romain ne pouvait pas être remise
en cause par votre serviteur, en revanche, le fait que l’un et l’autre des 2
autres joueurs aient été si proches de la victoire, a dû
disperser leurs forces dans des intérêts individuels.
Le jeu est vraiment très bien conçu : la phase de commerce, notamment,
constitue un grand moment de tension, car il convient de bien choisir le lieu
de sa pioche de cartes, si tant est qu’il y en aie. L’importance de l’ordre
de construction m’est aussi clairement apparu : il vaut mieux construire avant
si l’on veut prendre des marqueurs qui s’épuisent (villes) mais, parfois,
il vaut mieux construire après, afin de voir les intentions de ses adversaires
(belliqueux ou plutôt en quête de ressources disponibles).
Vivement ma seconde partie, histoire de mettre en pratique les quelques enseignements
que j’ai retirés de cette partie de « semi-découverte ».