[18/07/2019] Palm Island

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Avertissement : le compte-rendu de partie qui suit fait partie d’une sélection d’articles réduits au strict minimum, suite au piratage de mon site à l’été 2019, m’ayant contraint à différer leur écriture (une cinquantaine de retard…).
Vous y trouverez une introduction, des photos nombreuses (comme toujours), un condensé de mon avis sur le jeu (durée, plus et moins), mais pas autant de textes en-dessous des photos qu’à l’accoutumée.
Je vous remercie de votre compréhension et n’hésitez pas à réagir dans les commentaires…

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Lors de notre grand week-end en gîte de début juillet, Leila avait adoré jouer à la nouveauté de Nuts Publishing, à savoir Palm Island. Elle l’avait découverte en compagnie de sa soeur Maitena, qui lui avait expliqué la règle.
Pour les vacances, donc, tout à fait logiquement, je l’avais glissé dans ma besace ludique… Charge à Leila de m’en expliquer les règles à son tour ! Et là, honnêtement, ce ne fut pas facile du tout… Alors, je vous livre quand même ce compte-rendu, truffé de quelques points de règles mal maîtrisés, en mode coopératif à deux joueurs. Ce n’est pas très grave, j’y reviendrai tout seul un peu plus tard…

A noter que je détaille davantage ce compte-rendu car je n’avais encore jamais joué au jeu…

PALM ISLAND

La petite boîte bleue et blanche ne pouvait pas ne pas venir en vacances avec nous, tant elle promettait avec ses différents modes de jeu…
En mode coopératif, chacun dispose du même paquet de cartes, qu’il mélange avant l’entame, plaçant au-dessus la carte indiquant le numéro de la manche en cours. Il y en a 8 en tout. Chacun va essayer de contribuer à la réussite de la carte objectif de la table, ici la Famine.
La mécanique est extrêmement originale et savoureuse : vous prenez la carte du dessus de votre paquet, dans le sens de lecture et vous choisissez ce que vous en faites. Soit vous pourrez prendre une ressource, vous inclinerez alors la carte et la passerez au dos du paquet (comme mon poisson et mon bois par exemple), soit vous réussirez à faire évoluer votre carte en défaussant les ressources requises (comme le Logement ci-dessus, qui m’invite à défausser un bois et un poisson), vous tournerez alors la carte dans le sens indiqué (flèche jaune dans mon exemple) et la passerez au dos du paquet. Comprendo ?
Voici donc le rendu de ma carte une fois que je l’ai tournée et payé mes ressources. Il me reste à la passer derrière… A noter que Leila joue en même temps que moi sur son propre paquet, faisant la même chose.
Le plus difficile et le moins agréable lors de cette partie aura été de ne pas vraiment pouvoir influer sur le jeu de notre partenaire car, installés en face à face, ce n’est pas évident de savoir où il en est. On aurait dû, peut-être, se placer côte à côte. De plus, ce jeu a quand même tout l’air d’être mieux conçu pour être joué en solo. A revoir donc…
Lorsque la carte de numéro de manche revient devant, on la tourne pour qu’elle indique le numéro suivant, donc 2 en cet instant, puis on la passe à l’arrière du paquet. On jouera 8 manches en tout et il va nous falloir réussir 4 fois le défi de Famine, visible à droite, en défaussant conjointement les ressources requises pour y parvenir. Et le défi sera de plus en plus coûteux…
Comme vous pouvez le voir, les cartes de ressources empochées sont de plus en plus fournies, au fur et à mesure qu’on a fait évoluer nos cartes (les gains sont de plus en plus gros).
Ça sent la fin dans pas longtemps et, au final, on n’est pas si loin de la victoire…
Arghhhh…. Il nous manque un seul petit et misérable bois pour terminer le dernier défi de la carte Famine ! Enfin, avec les erreurs de règles vécues, je ne sais pas si la victoire aurait été justifiées ou non.

Durée de la partie : 1 heure 30 minutes – Note de cette partie : 12 / 20

Scores de la partie :

Score en étoiles Bilan
Leila + Ludo le gars 16 pour Leila et 11 pour moi, donc 11 Défaite

Bilan synthétique :

On a beaucoup aimé
– La mécanique de rotation des cartes, tout à fait originale et franchement bien vue,
– La possibilité de jouer à ce jeu n’importe où, les carets tenant très bien dans la main, même tournées, ce qui est une sorte de tendance en devenir dans le monde ludique (le jeu partout n’importe quand n’importe comment),
– Le principe des différents modes de jeu,
– Le matériel minimaliste.

On a moins aimé
– Le jeu coopératif en face à face : une vraie prise de tête inutile,
– La durée de la partie de ce soir,
– Les erreurs de règles commises, même si ce n’est pas la faute au jeu en lui-même

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