Quand on aime, on ne compte pas. Et là, pour le coup, l’adage se vérifie encore : nous voici embarqués, Leila et moi, sur notre quatrième partie de Robinson Crusoé – Les Naufragés…
Cette fois, on va tout faire pour essayer d’aller plus loin, quitte à se contenter de survivre, en se disant aussi que, si on y parvient même en ratant le scénario, peut-être pourra-t-on se donner le droit d’en changer pour la partie suivante…
ROBINSON CRUSOÉ – LES NAUFRAGES
Durée de cette partie : 3 heures 15 minutes – Note de ces parties : 17 / 20
Scores de la partie :
Bilan
Leila (exploratrice) + Le Chien + Vendredi + Ludo le gars (cuisinier)
Défaite au 12ème tour mais vivants et avec le feu !
Bilan synthétique :
On a beaucoup aimé – Avoir réussi à survivre jusqu’au bout, malgré une nouvelle défaite,
– Le côté épique qu’on ressent vraiment, notamment quand on flirte avec les 0 PV ou encore lorsque les cartes avec « ? » ressortent de la pile d’événements pour nous rappeler à leur bon souvenir…
– L’envie d’aller taquiner un autre scénario la prochaine fois…
4 commentaires à propos de “[19/05/2020] Robinson Crusoé – Les Naufragés”
Boïng ! de Charterstone tu nous propulses vers Robinson : même si tu as fait moins de parties, as-tu déjà des éléments de comparaison et de préférences entre les 2 ?
Ludiquement, Bast.
De Charterstone à Robinson, quoi de commun, quoi de différent ?
– Commun : le côté épique, campagne, passion, narration, aventures vécues, souvenirs mémorables, accessibilité du jeu (une fois passées les 3 premières parties), envie d’y revenir…
– Différent : coop pour l’un compétitif pour l’autre, un enchaînement de scénarios pour l’un et moult scénarios rejouables pour l’autre, création possible de nouveaux scénarios quasiment de manière infinie pour l’un alors que c’est fin de chez fin après 12 parties pour l’autre, …
Je rajouterai que j’ai finalement, à ce jour du 3 juillet, plus joué à Robinson qu’à Charterstone : 14 à 12 !
Boïng ! de Charterstone tu nous propulses vers Robinson : même si tu as fait moins de parties, as-tu déjà des éléments de comparaison et de préférences entre les 2 ?
Ludiquement, Bast.
De Charterstone à Robinson, quoi de commun, quoi de différent ?
– Commun : le côté épique, campagne, passion, narration, aventures vécues, souvenirs mémorables, accessibilité du jeu (une fois passées les 3 premières parties), envie d’y revenir…
– Différent : coop pour l’un compétitif pour l’autre, un enchaînement de scénarios pour l’un et moult scénarios rejouables pour l’autre, création possible de nouveaux scénarios quasiment de manière infinie pour l’un alors que c’est fin de chez fin après 12 parties pour l’autre, …
Je rajouterai que j’ai finalement, à ce jour du 3 juillet, plus joué à Robinson qu’à Charterstone : 14 à 12 !
Après le livre de Defoe faut aller vite lire « Suzanne et le Pacifique » de Giraudoux, la version féminine de Robinson…
Je ne connais pas mais tu me donnes envie…