[23/07/2019] Farmer Olaf

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Avertissement : le compte-rendu de partie qui suit fait partie d’une sélection d’articles réduits au strict minimum, suite au piratage de mon site à l’été 2019, m’ayant contraint à différer leur écriture (une cinquantaine de retard…).
Vous y trouverez une introduction, des photos nombreuses (comme toujours), un condensé de mon avis sur le jeu (durée, plus et moins), mais pas autant de textes en-dessous des photos qu’à l’accoutumée.
Je vous remercie de votre compréhension et n’hésitez pas à réagir dans les commentaires…

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Aujourd’hui, 23 juillet, c’est le jour de la grande surprise réservée à Leila : on a été passer toute la journée sur l’Île d’Aix, en bateau, après avoir tourné autour du Fort Boyard ! Une journée superbe, avec une petite partie de jeu dans l’après-midi : Farmer Olaf. Voici un jeu qui se joue partout, sans besoin de support, dans la lignée de Palm Island découvert il y a peu.

Je vous raconte de manière assez détaillée, car c’est une nouveauté pour moi, le déroulement de cette partie, plutôt sidérante comme vous le verrez…

FARMER OLAF

Boîte ultra-compacte pour un jeu absolument passé inaperçu à Essen 2018 et qui me titillait depuis le salon… La boîte sert de présentoir à ce jeu d’élevage et de culture, dans lequel on doit essayer d’exploiter au mieux sa ferme…
Au dos du livret de règles, mais également sur des cartes d’aide de jeu, on trouve les combinaisons possibles…
Bien installés en terrasse d’un café sur l’Île d’Aix, nous nous apprêtons à découvrir ce jeu. En fait, nous arrêterons au bout d’une vingtaine de minutes, trop de points de règles me paraissant douteux : je préférais les relire le soir au calme…
Voici ma main de cartes au bout de 6 tours : j’ai pioché 5 cartes en tout, donc, sans pouvoir construire la moindre combinaison de production. Je commence à pester contre le hasard de la pioche…
Toujours aucune possibilité de construire quoi que ce soit !!! Et quand vous observerez le nombre de mes cartes en main, ça pique quand même…
Leila est la première à construire quelque chose : elle montre qu’elle a une étable + une vache + deux sacs de quinoa et elle va pouvoir les convertir en une étable sale + 1 seau de lait + une vache.
Au moment où on décide d’arrêter, je n’ai toujours rien construit, ayant passé chacun de mes tours à piocher une misérable carte… 🙁

Durée de la partie avortée : 20 minutes – Note de cette partie : ?

Scores de la partie : inutiles car partie arrêtée au bout de 20 minutes

Bilan synthétique :

On a beaucoup aimé
– Le côté « jeu qui s’emporte partout »,
– Le thème du jeu et ses illustrations,
– L’envie d’aimer ce jeu : on y rejouera pour être sûrs…

On a moins aimé
– L’incompréhension totale qui s’est emparée de nous au bout de 20 minutes d’un jeu qui ne fonctionne pas !
– Le hasard délirant dans la pioche des cartes et la difficulté à faire vraiment quelque chose…

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