Chacun d’entre nous représente une nation qui s’implique dans la construction de
dirigeables. Ici, mon plateau individuel, sur lequel je placerai mes cartes acquises via des dés et qui représentent mes priorités d’investissements : 6 couleurs de cartes + cartes
de dirigeables déjà construits… |
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Cyrille débute de manière exemplaire, en accumulant carte sur carte, au moyen d’une
martingale qui n’est normalement pas possible (voir plus bas)… |
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Je mise sur la construction de dirigeables au lieu de trop axer mon développement sur les
cartes de couleurs. En effet, chaque dirigeable construit rapporte des points de victoire (ici 1). Pour gagner cette carte, j’ai jeté 2 dés blancs (car mes cartes du plateau me
le permettent) et j’ai conservé le meilleur (car un seul n’est requis pour le gain de la carte). J’ai fait 3 ou plus (valeur indiquée en haut) et j’ai donc empoché la carte… |
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Explication de la martingale réussie, à
tort, par Cyrille : avec cette carte (gagnée en ayant fait 5 ou plus avec 2 dés blancs comptabilisés), il gagne 2 jetons à chaque fois qu’il l’utilise pour tenter de
gagner une autre carte de la piste. Or, s’il échoue, il gagne 1 jeton de compensation. Du coup, il a gagné 3 jetons sur ce tour de jeu. Et comme il a le droit de rejouer un
tour entier en dépensant 3 jetons, il rejoue jusqu’à la gagner ! |
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Et voilà notre Cyrille qui met à profit la mauvaise traduction de la règle ! Celle-ci dit
: « Un commandant apporte (au moment de la tentative d’achat d’une carte) de 1 à 3 jetons bonus exceptionnels » alors qu’elle devrait dire : « Un commandant apporte une
seule fois (au moment où sa carte est achetée) de 1 à 3 jetons bonus exceptionnels. » Ce n’est pas tout à fait la même chose et cela nous a ruiné la
partie… |
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Céline est assez dépitée par la tournure des événements : Cyrille nous enfonce, nous
massacre, et on ne voit pas comment rivaliser… On remarque, sur le plateau, que beaucoup de cartes sont proposées et qu’on peut choisir librement celle que l’on souhaite essayer
d’acheter : trop de choix à notre goût. |
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L’une des piles de dirigeables est épuisée, ce qui donne à partir de maintenant, la
possibilité de participer à la construction du grand dirigeable du haut… |
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Mon plateau individuel s’est doté d’une carte similaire à celle qui a fait la fortune de
Cyrille : le commandant qui intervient sur les dés rouges… |
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Maud s’apprête à jeter des dés Je vous ai dit qu’on passe son temps à en jeter ? 🙂 |
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Petite vue générale de cette partie très très décevante et on sait pourquoi… |
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A mon tour, donc, de jouer sur la martingale de la mort et de gagner carte sur carte sur
la fin de partie, tout en faisant mieux que Cyrille, puisque je parviens à gagner plusieurs cartes successives et à investir dans le grand dirigeable du haut… |
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Je vous laisse en compagnie de mon plateau individuel de gros bill… |
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Lors de mon dernier tour, je clos la partie en investissant dans les deux dernières
tuiles du grand dirigeabl, ce qui empêche Cyrille de rejouer… |
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Mon plateau individuel une fois la partie achevée. On analyse le déroulement de celle-ci
et, là, miracle, on comprend enfin le sens de la règle en utilisant la version allemande. Bon, on n’allait pas en faire une autre ceci dit, car même si on s’est planté, il ne nous a
pas semblé que le jeu puisse être très passionnant quand même… |
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Bilan synthétique :
On a aimé
– Le look des composants du jeu,
– Le choix à faire entre investir dans les dirigeables et les progrès internes.
On a moins aimé
– Jeter des dés à tout bout de champ,
– Le trop grand nombre de cartes disponibles à chaque tour,µ
– Les erreurs de traduction (je sais que c’est sympa de traduire et que cela prend du temps, mais là franchement c’est difficile d’accepter de telles erreurs, même
bénévoles…). |
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Scores de la partie :
Cyrille (France) : 16
Céline (Italie) : 7
Maud (Allemagne) : 13
Ludo le gars (Etats-Unis) : 21
Note du jeu (sur cette partie) : 11 / 20 |
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