[28/10/2008] Mouse Chaos, Klondike X4, Cavum

Essen 2008, c’est fini ! Vivent les tests à présent. Vivent les découvertes. Vivent les grandes empoignades ludiques qui suivent généralement ce salon de jeux absolument démentiel. Parmi les piles et les piles de jeux rapportés, il est de coutume, par chez moi, de commencer par jouer aux jeux que j’ai rapportés à mes deux enfants. Ainsi, en ce premier jour de retour, et profitant de mes vacances, nous nous lançons dans une partie du splendide Mouse Chaos, que Maitena vient de recevoir, puis nous nous glisserons dans la peau de chercheurs d’or avec Klondike, celui que j’avais choisi de rapporter à Tristan, avant même d’être parti pour l’Allemagne. Un très bon moment.
En soirée, histoire de satisfaire l’appétit ludique de votre serviteur, nous nous  embarquerons, Julie et moi, pour les mines de Cavum, sur la toute nouvelle production du sieur Kramer, un gros jeu qui fait bien plaisir, surtout que cela faisait très longtemps qu’il ne s’était plus aventuré dans ce type de jeux !

MOUSE CHAOS :

 


La boîte rapportée à Maitena n’est autre que la version scandinave du jeu, avec des règles proposées en suédois, danois, finois, norvégien… Rien, nada, nicht, nothing en langues
plus couramment parlées par chez nous 😉

Avouez que le plateau de jeu, une fois installé, a de la gueule : de magnifiques murets en relief, des chaises et une table très réalistes, des chats et des souris non moins
mignonets et une surface de jeu appréciable. Miam !

L’idée est de parvenir à faire rentrer dans leur cachette les 4 souris à sa couleur, sachant que la couleur est indiquée sous l’animal et que pour la voir il faut réussir à la faire
recouvrir par une cloche à fromage… Ici, Maitena s’apprête à faire descendre un matou d’une chaise. Le rôle des chats est de contraindre les souris à regagner le tapis présent
sous la table (ce qui les éloigne des cachettes).

Après quelques première péripéties, aucune nouvelle souris n’a rejoint une cachette (les 4 coins du plateau). Comme à son tour on doit toujours déplacer une cloche à fromage du
nombre de cases indiqué dessous, puis une souris ou un chat du même nombre de cases, on n’a pas assez d’informations sur les couleurs de chaque souris avant un petit moment et le
jeu ne démarre donc pas très rapidement…

Petit exemple d’utilisation du mobilier : en couchant la chaise sur cette case, j’empêche la souris de sortir de là à cause du chat qui veille juste en face…

Le matériel est somptueux, le système de jeu classique mais bien agréable et, au final, ce jeu a tout pour plaire…

Tristan a surtout envie de faire grimper des souris dans sa cachette, même s’il ne sait pas de quelle couleur elles sont. Il en a le droit et je ne sais pas bien si ce n’est pas une
« bonne » tactique… La raison ? Tout simplement parce que dès qu’un joueur a 4 souris dans sa cachette, il révèle sa couleur et retourne une première souris. Si c’est une des
siennes, il la conserve, sinon il la rend à son propriétaire qui l’ajoute dans sa cachette, puis celui-ci fait de même s’il a 4 souris dans sa cachette. Et ainsi de suite…

Votre serviteur en pleine concentration, car même si le jeu se veut un agréable divertissement, il faut parfois savoir faire un bon choix. Et entre l’utilisation des clcohes à
fromage, celle des chats et du mobilier, et bien il y a de quoi faire… En plus, mais c ‘est sûrement très rare, voire incroyablement rare : je n’ai pas encore pu voir une seule
souris à ma couleur ! Et je n’en verrai d’ailleurs aucune de la partie !!! Comment jouer dans des cas pareils ?

Ca y est : Tristan a 4 souris dans sa cachette, suite à mon placement d’une 4ème souris dans sa zone (mon idée était de, peut-être, récupérer une souris verte par hasard)…

Tristan nous révèle sa couleur rouge, retourne une souris (une verte) et demande donc au joueur vert de se déclarer (moi). Je récupère donc une souris verte que je place couchée
dans ma cachette. Comme je n’ai pas 4 souris dans ma cachette, la partie reprend son cours…

La partie dure un poil trop longtemps pour un jeu de ce type, mais c’est vrai que Maitena prend bien bien son temps… Quoi ? Qui a dit qu’elle avait de qui tenir ? ;-)))

Nouvelle révélation de couleurs : Julie est bleue et Maitena est jaune. Il ne manque plus que 4 souris en tout. La fin de partie va être tactique mais je ferai le mauvais choix
d’ajouter une quatrième souris à Tristan, espérant que l’enchaînement de retournements de souris me serait favorable…

Les souris se transmettent de cachette en cachette et à ce petit jeu, c’est Maitena qui bénéficie de la remise de la grosse souris de Julie (elle avait la jaune dans sa cachette
depuis le début de la partie). Hop ! Victoire pour elle…

Petite vue générale une fois la partie terminée. A noter que si la grosse souris de Julie avait été verte, c’est moi qui l’emportait parce que ma 4ème souris, encore cachée ici,
était miraculeusement verte…
Bilan synthétique :

On a aimé
– Le matériel de folie, qui aide bien à se transporter dans le thème,
– La logique de la règle proposée (mobilier entravant les déplacements), même si des imprécisions se sont présentées,
– Le nombre de stratégies exploitables : on peut essayer diverses choses, sans être certain de leur pertinence.

On a moins aimé
– La possibilité que les parties soient interminables (blocages à répétition, personne ne fait grimper de souris),
– La relative fragilité du matériel lors du démontage des pièces en 3D,
– Le hasard lié au retournement des souris et la fin de partie qui pourrait bien être qualifié de chaotique.

Scores de la partie :

Maitena (jaune) : 4 souris jaunes
Julie (bleu) : 2 souris bleues visibles + 1 cachée
Tristan (rouge) : 2 souris rouges visibles + 1 verte cachée
Ludo le gars (vert) : 2 souris vertes visibles + 1 cachée

Note du jeu (sur cette partie) : 14 / 20

Durée de la partie : 1 heure 15 minutes

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KLONDIKE X 4 :

 


Jeu de l’année Enfants 2001, Klondike n’avait jamais été essayé par votre serviteur avant ce jour. Quelle claque ! Ce jeu est un petit bijou d’originalité et de plaisir à l’état
pur. Dans la lignée de Pyramidos, chez le même éditeur, il innove à fond et on prend un pied d’enfer…

Quelle bonne idée ! On doit laver son or sur un plateau métallique, lequel contient 3 pierres : ici, Tristan essaie de laver 2 pépites d’or et 1 caillou noir. Il doit essayer de
faire sortir du plateau le caillou noir tout en conservant un maximum de pépites dessus. Plus facile à dire qu’à faire !

N’ayant pas réussi à conserver la moindre pépite, Tristan devra payer les paris remportés par les autres joueurs avec son seul capital de départ (4 pépites). Comme nous avions
estimé (oh les méchants !) qu’il ne conserverait aucune pépite (carte 0 en face de nous 3), il doit payer 1 pépite à Ludo, 2 à Maitena et 1 à Julie (le montant de nos mises
présentes dans nos pots de bois). Il n’a plus d’or : la partie s’achève prématurément et celui qui a le plus d’or (Maitena) gagne…

Evidemment, on remet le couvert ! Pour cette seconde manche,c’est Maitena qui commence, alors que j’ai toujours le raton-laveur devant moi (le joueur le plus âgé). Le rôle de ce
dernier est de voler une pépite au joueur actif si celui-ci en pioche 3 dans le sac (tirage sans caillou qu’il encaisse sans passer par l’épisode plateau de métal). Ce raton-laveur
change de main à chaque fois qu’un caillou gris est pioché dans le sac.

Que de franches rigolades sur ce jeu…

Et voilà la fin de la seconde manche, dans la lignée de la première puisque la encore Maitena ne peut pas payer les paris des joueurs…

Bon, et bien en route pour la troisième manche ! Julie l’entame et elle a la main heureuse puisque piochant 3 pépites, elle en encaisse 2 directement et me donne la troisième
(raton-laveur chez moi). Enfin, une partie sui semble ne pas vouloir s’arrêter directement…

Admirez la concentration majeure de Tristan pour conserver quelques pépites sur son plateau. A noter que les mises sont vraiment délicates pour le joueur qui suit le joueur actif :
s’il mise 2 pépites et qu’il perd, il risque fort de ne pas pouvoir payer les paris des autres lors du tour suivant. Du coup, en général et surtout en début de partie, le joueur
suivant ne mise qu’une pépite…

Tristan admire son père qui vient de réussir à conserver deux pépites sur son plateau tout en évacuant d’un geste sec et bref le caillou noir parasite qui s’y trouvait aussi…

La manche se prolonge très agréablement et le tour revient à Tristan, lequel fait, malheureusement pour lui, gicler l’ensemble de ses pierres hors du plateau…

Enfin ! Julie s’essaie au lavage de l’or, elle qui jusqu’alors (3 fois de suite) n’avait que pioché 3 pépites dans le sac…

Fin de la manche et le contenu de ma corbeille métallique au premier plan est sans équivoque…

Maintenant que tout le monde a bien compris le jeu, nous attaquons une 4ème et dernière manche, dans la configuration de départ : Tristan commence (le plus jeune) et j’ai le
raton-laveur (le plus âgé). Sur cette photo, on voit que joueur le mieux placé est Tristan avec plein de pépites amassées alors que je n’en ai plus que 2…

Au tour de Julie de laver son or. Nous discutons de la meilleire manière de procéder à un lavage efficace et il semble que trois écoles se dessinent : tenter de faire faire des
longueurs aux pépites perpendiculairement à celles des caillous (mon choix), tenter de procéder par giclées des caillous (choix de Maitena), tenter de faire de grands cercles avec
les pierres puis d’impulser un saut pour faire gicler le caillou (choix essayé par plusieurs personnes)…

Nous sommes en fin de partie, ou presque. Ce sera Maitena qui clôturera celle-ci alors que Tristan et moi sommes très proches au score…

La partie s’achève et le pari de 2 de Tristan ne lui suffira pas pour me doubler…
Bilan synthétique :

On a aimé
– L’originalité absolue de ce jeu très frais,
– Le fun incroyable généré par ce plateau métallique et le stress (qui fait beaucoup rire) lié,
– Les possibilités tactiques : si on s’en sort bien avec le plateau, il est intéressant, parfois, de faire choir volontairement les pierres pour encaisser les mises des
adversaires…
– Les variantes proposées dans la boîte (non essayées).

On a moins aimé
– ?

Scores de la partie :

Manche 1 Manche 2 Manche 3 Manche 4
Maitena (bleu) 6 -1 12 -2
Julie (rouge) 5 5 0 6
Tristan (violet) 0 6 5 8
Ludo le gars (vert) 5 6 21 9

Note du jeu (sur cette partie) : 17 / 20

Durée de la partie : 45 minutes
(environ 15 minutes par manche « normale »)

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CAVUM :

 


Illustré par Mac Doyle, Cavum tente de nous faire pénétrer dans l’univers des mineurs en quête de pierres précieuses qui seront ensuite revendues ou utilisées pour fabriquer de
magnifiques bijoux. En outre, en implantant des exploitations dans les villes, on acquiert de solides débouchés qui donneront également des points de victoire…

Très kramerien dans sa présentation (le système d’actions par tour à répartir selon ses choix, le tout présenté de manière synthétique sur le résumé de règles), Cavum l’est aussi
dans ses mécanismes : on planifie à long terme l’étendue de ses réseaux et il faut être malin pour profiter de ceux des autres. Ici, mon plateau individuel avec les 12 actions en
haut et le résumé (en français s’il vous plaît !) en bas…

Avec sa forme hexagonale, la zone montagneuse nous semble un peu abstraite. Mais qu’importe ! Ici, vous pouvez voir la configuration de départ avec 4 tunnels déjà en place et un
filon d’or en plein centre du plateau (9 pierres dessus). Les cases oranges représentent des espaces de villes (5 zones en tout, séparées par des cases marrons)…

Je viens de réaliser mon premier tour d’actions après avoir opté pour 2 cartes d’objectifs particulièrement difficiles à atteindre (la 27 et la 28, chacune requérant 4 pierres pour
être réalisée). Sur le plateau, j’ai placé un premier tunnel, puis une exploitation dessus (cube vert), puis un second tunnel que je recouvre immédiatement d’un filon de 3 pierres
blanches (j’ai besoin de 2 pierres blanches pour mes objectifs).

Une fois que chacun d’entre nous a joué ses 12 actions, nous arrivons en fin de manche et nous allons donc décompter les villes : 1 point par case de ville vide dans chacune où nous
sommes implantés avec une exploitation, elle-même reliée à une autre installée sur la montagne. Ici, nous marquons tous les deux 3 points pour la ville orange en haut à gauche…

Une fois les villes décomptées, les dynamites visibles explosent. Par rapport à la photo précédente, on remarque que les deux tuiles dynamites ont disparu (avec les éventuelles
tuiles empilées) ainsi que la première de chaque pile adjacente. Si, ce faisant, on révèle une autre dynamite, on vit alors une réaction en chaîne (pas le cas ici)…

Nous sommes en cours de seconde manche (sur 3) et nous nous demandons comment il sera possible de collecter suffisamment de pierres pour réaliser des cartes d’objectifs et, pourquoi
pas, vendre des pierres isolées. En effet, au premier tour, Julie n’a collecté qu’une pierre et moi deux !

Tel un opportuniste malsain, je viens de profiter de la construction de tunnels de Julie en direction de la ville de droite : ayant une exploitation reliée à cette ville, j’en
implante une précieuse sur une case de la ville ! Au-delà de ce coup, je tente de créer un réseau de tunnels qui me permettent de collecter 4 ou 5 pierres en fin de manche…

Fin de manche, après collecte de nos pierres respectives et décompte des villes. Pour la collecte, l’idée est simple mais diablement difficile à lire : on ramasse une pierre par
filon traversé d’une exploitation à une autre (de la même couleur) par un chemin ininterrompu de tunnels sans exploitation adverses… A noter que je viens de couiner un peu, car l’ordre du tour que je pensais m’être favorable (j’étais avant Julie) ne m’aura pas été d’un grand secours puisque Julie a collecté avant moi la dernière pierre blanche que je
visais (j’en avais besoin de 2 pour mes 2 objectifs).

Explosion des dynamites, ce qui va obliger à reconstruire lors de la troisième manche… Pour les ventes de pierres, aucune nouveauté : personne ne vend rien (nous pensons que c’est
la configuration 2 joueurs en est responsable, autant que notre méconnaissance du jeu). Pour les cartes d’objectifs, Julie décide de vendre une des siennes pour un total de 21
points de victoire, alors que je me demande bien pourquoi faire cette vente anticipée (si c’est pour jouer sur les cours de vente, comme on ne vend rien isolément, cela sert à peu
de choses et elle découvre son jeu…).

Nous venons de procéder à la mise en place de la 3ème manche et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il y a trop de cartes d’objectifs à 2 joueurs (cartes visibles à gauche).
Certaines, non prises précédemment, sont bonifiées de 2 PV mais elles ne seront pas toutes choisies pour autant)…

Séance réflexion pour la dame. Il faut dire qu’elle a pris un peu de retard sur moi : j’ai acquis plus de pierres qu’elle, j’ai un réseau de tunnels assez solide et bien relié, et,
peut-être surtout, je ne vois pas comment elle pourra m’empêcher de réaliser mes 2 gros objectifs…

Non content d’être quasi-certain de réussir mes 27+28 points, je prends le risque de me lancer dans deux autres objectifs : 16 points pour une combinaison bleu clair / bleu foncé,
et 16 points pour une combinaison vert / rouge. A noter que la dernière carte, tout à fait à gauche, a été prise pour les 4 PV qui se trouvait dessus (elle me fera perdre 3 points
seulement car je ne la ferai pas de toutes manières)…

Cette troisième et dernière manche est l’occasion de blinder son réseau avec des exploitations surtout utiles pour empêcher l’adversaire de dynamiter les cases cruciales. Ici, je
viens de construire à fond, en utilisant 4 actions à chaque fois. Comme on en 12 à faire, cela me garantit, comme je suis premier joueur, de collecter avant Julie et d’empocher une
bonne fois les pierres nécessaires à mes objectifs…

Je viens de terminer mes actions et je m’apprête à collecter. Suivez bien : en partant de l’exploitation en ville à l’extrême droite, je prends d’abord une pierre bleu clair, puis
une bleu foncé, puis une verte, puis une jaune, puis une blanche, puis une rouge, puis une dernière bleu foncé, juste avant d’atteindre une de mes exploitations dans la ville de
gauche. A noter qu’on ne peut jamais passer deux fois au même endroit, ce qui peut être un bon casse-tête…

A Julie de solder ses dernières actions et de couiner bien comme il faut lorsqu’elle découvrira qu’elle ne peut pas passer dans chacun des filons visés pour sa collecte. Pour
certains, ils ont disparu (je les ai épuisés), pour d’autres, avec la suppression des tuiles filons épuisés, ils ne sont plus accessibles. Elle aura du mal à réaliser toutes les
cartes objectifs qui lui restent…

A Julie de collecter : elle prend une pierre bleu clair à droite, une bleu foncé juste après, une jaune ensuite, uneblanche pour continuer et enfin une bleu foncé à gauche…

Décompte des villes avant explosion des dynamites (assez inutiles sur ce coup-là, tant nous avons protégé les zones sensibles)…

La vente de pierres isolées me permet de vendre une pierre bleu foncé pour 6 PV, et Julie fait de même avec 2 pierres blanches pour 5 PV chacune.

Révélation des objectifs réalisés et là j’avoue que je jubile avec l’atteinte des 4 que je visais !

Ultime décompte de villes (10 PV chacun), pas de vente de pierres non encore vendues, déuction des objectifs non réalisés (-4 pour Julie, -3 pour moi) et la partie s’achève. Pas
excellentissime à deux joueurs, ce jeu promet de grosses parties à 3 ou 4…
Bilan synthétique :

On a aimé
– Le nombre de trucs à penser, et pourtant pas si alambiqués que ça !
– Les possibilités stratégiques et tactiques pour protéger ses réseaux de tunnels (exploitations, tuile tunnel posée sur une case dangereuse,
…),
– Le système d’ordre du tour : résolu à l’enchère, on choisit son numéro dans le tour, avec des avantages à jouer tôt, mais avec des dynamites plus fortes pour les numéros les
plus grands,
– L’impression de jouer à un jeu de course puisque la phase de collecte sera effectuée par celui qui termine ses 12 actions avant les autres,
– Le matériel proposé, une pure beauté, avec même des illustrations historiques sur supports cartonnés où étaient fixées les pièces de jeu !

On a moins aimé
– La configuration à 2 joueurs, vraiment pas la meilleure : plateau trop grand, enchère presque inutile, blindage trop facile des réseaux, vente de pierres peu utilisée (rôle de la variation des cours quasiment absent), trop de cartes d’objectifs, trop d’or sur le filon central, …
– Quelques points de règles obscurs :
1/ Comme un joueur qui a construit une exploitation sur un espace de ville est le seul à pouvoir poser une tuile sur les cases de montagne adjacentes, peut-on lui mettre de la
dynamite en ce lieu ou lui remplacer une tuile tunnel par une plus forte ? Notre idée : non.
2/ Peut-on utiliser les tunnels dynamités (mais pas encore explosés) pour collecter ses pierres ? Notre idée : non.

Scores de la partie :

Manche 1 Manche 2 Manche 3 Décompte final
Julie (rouge)
Total 20
3 + 0
23
9 + 21
53
22 + 35
110
10 – 4
116
Ludo le gars (vert)
Total 20
3 + 0
23
13 + 0
36
23 + 87
146
10 – 3
153

Note du jeu (sur cette partie) : 16 / 20

Durée de la partie : 2 heures 30 minutes

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6 commentaires à propos de “[28/10/2008] Mouse Chaos, Klondike X4, Cavum”

  1. hello ludo,

    On a compris qu’on ne pouvait pas mettre de filon sur une case montagne: on doit les mettre sur une tuile tunnel. Il me semble voir des filons sur vos cases  montagnes. Les règles sont quand même pas top…

    seb

    • Salut !
      Je le sais bien et on n’a d’ailleurs pas commis d’erreur à ce niveau là. Sinon, toi, tu as essayé à deux joueurs ? Qu’en as-tu pensé ?
      Ludo

  2. On a commencé une partie à 2 mais on ne l’a pas terminé à cause de l’erreur de règle dont je t’ai parlé. Déjà qu’avec cette erreur, on avait le sentiment de trop jouer sur la même section du plateau; comme les vraies règles accentueront encore cet effet, j’ai mis le jeu de coté pour le tester dès qu’on sera au moins 3. Les enchères ne sont pas non plus très exitantes… Aujourd’hui, on attaque comuni à 2 😉

    seb

  3. Perso, je n’ai pas eu de problème avec les règles.
    Les tuiles Dynamite sont des tuiles tout à fait normales. Elles s’utilisent exactement comme toutes les tuiles tunnel.
    Leur seule particularité est qu’elles explosent à la fin du tour.
    On peut donc bien les utiliser pour convoyer des pierres.

  4. Pour répondre à ta question ludo, on l’a testé à 2 et on en tire els mêmes conclusions que toi: cela fonctionne mais c’est surement mieux à plus. On y rejouera on uniquement à plsu pour comparer.

    seb

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