[31/03/2005] Der Schatz des Pharaos

Participants
– Didier_adasoc, joueur bleu, découvrant ce jeu de Kramer,
– Johnattan, joueur jaune, idem,
– Ludo le gars, joueur vert, votre serviteur.

Déroulement de la partie
Un jeu de Kramer que l’on ne connaît pas, cela est toujours un petit moment à part et je pense que mes 2 acolytes de ce soir ont ressenti ceci avant d’attaquer la partie de Der Schatz des Pharaos.
Je leur explique la règle en 5 minutes puis la partie débute avec Johnattan en premier joueur.


Johnattan et moi avons choisi de piocher deux cartes chacun alors que
Didier ne s’embarasse pas de questions existentielles et progresse d’une
case sur le trajet vers la pyramide du pharaon…


Didier semble prendre du plaisir sur ce jeu, pour lequel il a bien
senti une tactique payante : éliminer toutes ses cartes pour progresser
d’une case…


Ayant résisté à une malédiction que je
lui ai lancé, Didier réussit à terminer la partie
le tour suivant en bénéficiant du mode de progression valide
à présent : la pelle.


Une vue de ma main alors que je possède 10 cartes, soit le
total maximum, et que je vais devoir prier car je n’ai malheureusement
aucune carte du Dieu permettant de changer le type de cartes jouables
(on aperçoit que seule la corde est utilisable, via le pion beige
en arrière plan, mais si mes adversaires en changent je ne pourrai
pas réagir)…


L’arrivée est proche pour le pion bleu
de Didier, alors que le pion jaune de Johnattan le suit à une
case et mon pion vert à deux cases. On notera que l’on ne peut
utiliser que la corde pour progresser et que Didier doit jouer précisément
12 en valeurs de cartes pour atteindre le trésor de la pyramide…

 

Décompte final
Durée de la partie : 15 minutes – Mise en place du
jeu : 5 minutes – Explication des règles : 5 minutes
Didier remporte cette partie, devant Johnattan à 1 case et Ludo le gars
à 2 cases.

Débriefing
Vraiment léger de chez léger, ce jeu aura finalement parfaitement
joué son rôle de petit jeu pour finir la soirée, explicable
en 5 minutes, déroulé en 15 et somme toute assez plaisant bien
qu’assez tributaire du hasard (si vous n’avez jamais de cartes pour changer
le type de cartes à jouer, vous êtes mal…). Dans ce jeu qui n’est
pas sans rappeler le Tour du monde en 80 jours, du même auteur, il semble
que la tactique d’élimination de ses cartes soit quand même payante
et que par ce biais on avance plus vite que les autres.
Toujours sympas ces petits jeux méconnus qui ressortent de temps à
autres, issus d’une autre époque quelque part.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*


− 1 = cinq