Type de jeu | Adresse Conquête |
Auteur | ? |
Editeur (année) | Parker (1979) |
Nombre de joueurs | 2 – 4 |
Durée de partie | 15 minutes environ |
Hasard | |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Les + | – Un grand jeu débile comme on les aime ! – Le fait de vraiment tirer des boulets sur les autres bateaux en évitant le relief des îles, – La taille des bateaux qui diminue lorsqu’ils sont touchés, – Le matériel en plastique qui met bien dans l’ambiance. |
Les – | – La place du hasard dans le déplacement des bateaux. |
Configuration idéale | Le maximum pour le fun |
Note subjective | 12 / 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (20 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
Qui n’ a jamais joué à Canon noir dans sa jeunesse ? En ce qui me concerne, pour la petite histoire, je ne l’ai jamais eu à la maison et j’y jouais, de temps à autres, chez des amis, lors de parties endiablées passées le plus souvent à chercher les précieux boulets sous les meubles… M’enfin, une fois que j’ai vu ce jeu en vide-grenier, avec une boîte en bon état parce que les boîtes pourries de ce jeu sont légions, je l’ai achetée et depuis quand on y joue c’est du bonheur… Dans ce jeu de flibustiers, chacun des joueurs tente de collecter 3 coffres le premier, sans être victime des canons adverses qui réduisent les capacités de déplacements lorsque les bateaux sont touchés. Le système est simpliste mais efficace : à son tour on jette deux dés et on fait progresser sa caravelle soit de la somme des dés soit d’un seul des deux. Si on arrive sur une case trésor on le charge sur son bateau, avant de tenter de le ramener à son port lors du tour suivant. En cas d’arrêt sur une case Canon noir, on peut utiliser le gadget du jeu : le fameux canon noir qui tire des vrais boulets sur les bateaux adverses. Dès qu’un joueur a réuni les conditions de victoire, il est sacré roi de la flibuste !Simplissime mais universel, Canon noir ne saurait être pratiqué de manière sérieuse et il faut être déjà bien imbibé ou déjanté pour s’y adonner. Après, c’est un régal…
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