Type de jeu | Prise de risque Placement Parcours |
Auteur | Klaus-Jürgen Wrede |
Editeur (année) | Amigo (2004) |
Nombre de joueurs | 2 – 4 |
Durée de partie | De 45 minutes à 1 heure |
Hasard | |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Les + | – Le thème du jeu très bien rendu lors de la fuite des habitants, – La deuxième phase du jeu : la fuite. |
Les – | – La première phase du jeu : le placement, – Le côté très cheap du volcan. |
Configuration idéale | ? pour l’instant |
Note subjective | 12 / 20 (première impression) |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (31 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
Pompeji, dont j’écourte ici le nom à rallonges
: Der untergang von Pompeji, est sorti à Essen en 2004, chez Amigo. C’est
un jeu qui avait bien plu sur place aux joueurs l’ayant essayé, même
si personne ne cria alors au chef-d’oeuvre. Un jeu malin et rapide, correct
en somme…
La partie s’achève dès que l’ensemble des tuiles de lave Le jeu surprend. Il surprend d’abord par son caractère insipide, |
Dans ce jeu, qui se déroule en 2 phases de qualité incroyablement inégale, vous incarnez celui qui veille à la survie des habitants de Pompeji de sa couleur. Lors de la première phase, vous placerez un maximum de vos pions dans la cité, puis dès que le volcan entre en éruption, charge à vous de faire sortir le maximum de vos pions colorés. La première phase consiste en un placement ni tout à fait aléatoire, ni tout à fait maîtrisé, de ses pions dans la ville. A l’aide d’un système plus alambiqué qu’ingénieux, vous allez placer au moins un pion à votre tour (jeu d’une carte indiquant dans quel bâtiment le faire). Le « au moins » me permet d’éviter de détailler à quel moment vous pourrez en placer plusieurs, représentant la notion de familles dans Pompeji… Cette phase s’achève dès que la carte volcan est piochée pour la seconde fois et on remet alors les pions qui nous restent dans la boîte. La seconde phase, nettement plus jouissive que la première, s’apparente à une course contre la mort, avec un système qui rappelle celui d’Emerald : un pion se déplace d’autant de cases que de pions présents sur sa case de départ. Vous pouvez déplacer deux pions par tour et la tactique prend alors le pas sur le hasard… sauf lorsque vous piochez (au début de votre tour) une tuile de lave qui va venir s’accoller à l’une des parcelles de lave déjà sur le plateau (un symbole permet de repérer où le placement doit avoir lieu).
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