[Essen Spiel 2012] Les jeux et les auteurs

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LES JEUX ET LES AUTEURS :

 

Si on va à Essen, c’est en priorité pour les jeux de société. Ben oui. Forcément. Du coup, la plus grande partie de mon reportage de cette année vous propose de découvrir quelques boîtes repérées
ici et là, en situation de partie ou sur les stands des éditeurs.

Trève de grands discours, je vous laisse avec Bruno Cathala, Yoann Levet, Stefan Feld, Michael Kiesling ou encore Wolfgang Kramer…

 

 


Le stand d’accueil de la presse et tout ce qui touche au salon en lui-même. A noter la vente cette année d’articles spéciaux estampillés Essen : mugs, tee-shirts, sacs…

L’entrée du Hall 12, à mi-journée, lorsque la foule s’est dissipée. Juste en face, le stand Asmodée et consorts, comme quoi les français sont représentés en masse parmi les
exposants…

Bien sûr Kosmos possède toujours un stand hors norme…

Bruno interviewé chez les gars du Geek…

Des cubes emboîtables à profusion ! Et il n’y a pas que les gamins qui s’y amusent…

Les indéboulonnables du salon, malgré de moins en moins de nouveautés malheureusement : Doris & Frank et leur compère Ralf Lehmkuhl qui n’aura produit qu’un jeu depuis
2002 (Trias) !

Le ludochon Yoann Levet explique les règles de son bébé, passionné qu’il est, sans relâche, sur le gros stand français du Hall 12…

Il prend la pose avec Myrmes, un jeu qui fera un buzz du tonnerre sur le salon ! Cette situation n’est pas sans rappeler Caylus de William Attia, lui aussi un novice dans la
création de jeu à cette époque et lui aussi chez Ystari. Souhaitons lui la même carrière, il le mérite amplement…

Les gars d’Hans Im Glück se sont eux-aussi lancés dans la vente de produits dérivés, avec notament ce sympathique tee-shirt bleu que je me suis offert…

Deux seigneurs du jeu : MM. Kramer et Kiesling, présentant leur nouvelle production commune Les palais de Carrara. A noter que Wolfgang m’a reconnu, avant que je m’adresse à lui, me
faisant un large sourire et un signe de la main. Des restes de nos rencontres de 2002 et 2003, lors desquelles nous avions longuement échangés et sympathisés, notamment lors d’un
apéritif offert par Schmidt Spiel…

Mucke Spiele, un éditeur de jeux abstraits qui me font de l’oeil chaque année mais que, par manque de temps, je ne vais jamais voir de plus près…

Haba, évidemment, avec une floppée de nouveautés absolument hallucinante…

Le stand Haba grouille de monde, parents et enfants réunis autour de jeux en tout genre…

Des billes de plomb parcourent des chemins improbables…

Abacus et sa poule aux oeufs d’or : Zooloretto et ses X mille goodies et autres extensions…

Un jeu surdimensionné que l’on m’a fortement conseillé pour son côté absurde…

Tzolk’in et ses engrenages verticaux surdimensionnés. Un jeu qui buzze…

Les mêmes roues dentées, vues de plus près et de côté. On se rend compte qu’il y a de la conception technique là-dessous…

Et ça y joue, bien sûr…

C’est très joli, ça donne clairement envie, hop, la boîte dans mon sac !

Vous faut-il du pion ?

Ou du dé ?

Czech Pub, l’un des trois jeux que j’ai testés sur le salon. Ici, en compagnie de français (vont-ils se reconnaître ?) et également en compagnie de moult bouteilles tchèques,
évidemment nécessaires au jeu mais pas dans la boîte… C’est môôôche…

Le stand Ferti, toujours à la même place, année après année, à la limite du hall 10 et du hall 5, près de la machine à bretzels…

Riff Raff, un jeu d’adresse qui a séduit les grands comme les petits…

Drei Magier Spiele, au pied du restaurant dans le hall 10, avec là encore tous les âges attablés…

Pegasus est l’éditeur goulu du salon. Après s’être approprié Eggert Spiele en 2011, ils se sont emparés de Clemens Gerhards cette année, tout en distribuant également les jeux
Beziers Games. Du coup, leur catalogue de nouveautés prend des allures de bible ludique, avec plus d’une trentaine de nouveaux titres !!!

Noblemen est l’une de ces nouveautés 2012, avec un matériel de folie et une boîte ultra pleine. De ma vie, je n’ai jamais dépioté une boîte contenant autant de tuiles ! Mais pas
que…

Il y aussi de la jonglerie dans le hall 11…

Une charmante allemande en train de redresser le stand le dimanche matin…

Une bonne partie des jeux de Friedemann Friese est toujours exposée à côté de son stand, un peu comme une exposition. Et puis, on peut aussi acheter des oldies ou faire une bonne
action en faisant un don et repartir avec une nouvelle carte de centrale pour Funkenschlag…

Alors que Friedemann Friese en avait le slogan de son nouveau jeu Fremde Feden : Yes we play, en clin d’oeil à l’élection aux Etats-Unis qui surviendra dans quelques
semaines, j’ai tout bonnement halluciné de la voir reproduite telle quelle sur un autre stand du hall 6 !!!

Gryphon Games et Eagle Games ne sont pas encore arrivés ! Il est pourtant 9h45 et le salon ouvre dans 15 minutes au public…

Le stand Ferti voit passer des écossais en kilt ! Ici, l’un des frères Lamont arpente les allées…

Douze à quinze tables du jeu frénétique de cet opus 2012 :  Escape ! Avec un poste CD sur chaque table et des actions en simultané, on a l’impression d’un curieux mixte entre
Squad Seven et Diamant !

L’autre face du stand Queen Games c’est la vente à outrance, avec des rabais en masse, mais rarement ou trop peu intéressants sur les jeux qui m’auraient motivé. Dommage…

Le matin, ça restocke aussi dans les boutiques…

Les meilleures occas’ du salon sont cachés sur un côté du hall 9, avec, par exemple, deiux boîtes de Sumeria pour 5€…

Ou encore 5 € la boîte Phalanx Games, comme La ruée vers l’or ou Le siècle d’or…

Matthintheweb, fraîchement arrivé chez Iello, fait bonne figure sur le stand français du hall 9…

Coup, sold out, au bout du hall 6 ou 9 (j’ai oublié), et plus personne sur le stand… Je l’avais essayé avec les grenoblois la veille et je l’aurais probablement rapporté…

Terra Mystica est lui aussi sold out, ce qu’indique de manière on ne peut plus visible l’immense banderole au-dessus des tables de démonstration…

Le jeu que je voulais essayer à Essen cette année, sans vraiment oser le croire possible…

Celle-là de photo, j’en suis on ne peut plus content, vous imaginez bien : Stefan Feld himself, sur le stand Alea, juste avant de me faire découvrir son Bora Bora à venir au
printemps 2013…

La partie débute, à 4 joueurs, dont trois allemands et un français (moi-même)… Le jeu semble faire penser aux Châteaux de Bourgogne, surtout. Je ne le sais pas encore, mais on est
parti pour plus de 3 heures de jeu…

Mon plateau individuel, avec moult informations que je n’ai pas encore tout à fait comprises… Il faut dire que le bruit environnant et les apparetés de mes acolytes, en allemand,
n’aident guère à la concentration et à l’intégration des « bonnes » règles…

Ca, c’est du superbe système de jeu ! Chacun pose, à tour de rôle, un de ses trois dés, précédemment jetés, sur une des 7 actions, à condition que la valeur du dé soit inférieure à
tout dé présent. Ainsi, soit on joue vite un gros dé, pour faire une grosse action, soit on en joue un petit pour bien gêner ses camarades… Jouissif !

Vue de mon plateau un peu plus tard, alors que j’ai enfin à peu près tout compris dans ce qu’il faut faire. Mais que c’est long… Je dois dire que l’allemand en face de moi,
lequel joue les verts (il n’a pas voulu me les laisser, le bougre !), est d’une lenteur à couper le souffle…

Nous avons fait deux tours sur les six que comporte la partie…

Ca, j’ai le temps de faire des photos…

Autre vue du stand Alea, avec un joueur qui semble se moquer de moi : s’est-il rendu comtpe qu’ils ot joué deux fois plus de tours que nous en ayant démarré en même temps ? Sinon,
sur le stand, on pouvait se procurer la Schtazkiste, ça c’est cool, Saint Malo, ou encore Artus à 5 euros ! Et dire que j’ai même vu du Macao à 25 € pour ceuix que ça intéressent…

Ca y est, on arrive au bout !!! C’est super comme jeu, mais avec d’autres joueurs… 😉 Sinon, au niveau score, j’ai réussi un fantastique retour sur les autres, en ayant
construit 3 morceaux de temple d’affilée au tour 3 ou 4, pour 21 PV. Du coup, en fin de tour 6, malgré une bévue phénoménale en fin de tour 5 (la faute à un temps d’attente record
qui m’a fait oublier mes priorités !!!), je termine premier avec 12 PV d’avance sur le second…

Une fois l’ultime décompte effectué, je me fais lamentablement doubler par… l’énervant joueur vert ! Il termine avec 5 ou 6 PV d’avance, donc je couine, forcément…

Les plateaux des deux autres joueurs, qui terminent un peu derrière, mais sans que les scores se soient trop étirés : 146 PV pour le vainqueur et 127 PV pour le dernier…

Le stand Treefrog, de Martin Wallace, avec son nouveau jeu P.I. que je n’ai pas essayé. L’un de mes regrets ? Ne pas avoir pu passer plus de temps avec lui…

Le maestro est absent lorsque je viens dire au revoir, aussi Julia lui transmettra mes amitiés…

Le stand Fairplay, avec le classement des jeux qui font parler d’eux cette année…

Bilan : 1er : Keyflower ; 2ème : Terra Mystica ; 3ème : Ginkgopolis ; 4ème : Il Vecchio ; 5ème :  Home Steaders ; 6ème : Hanabi ; 7ème : Tzolk’in ; 8ème : Andor ; 9ème :
Carrara. Pas mal, finalement, mais dommage que pour une sombre histoire de nombre de votes, Myrmes en soit sorti…

L’ensemble de mes boîtes de jeux ainsi glanées sur le salon cette année. On y voit surtout du gros jeu, comme quoi c’était bel et bien possible cette année, pour celui qui
aime se prendre la tête, de revenir avec du choix dans ce domaine… J’ai plus que hâte de découvrir tout ça, je dois bien le dire, particulièrement les titres suivants :
Ruhrschifffart, Swordfish, Myrmes, Western town ou encore Tzolk’in…

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4 commentaires à propos de “[Essen Spiel 2012] Les jeux et les auteurs”

  1. Rétroliens : [Reportages] J’y étais… |

  2. Rétroliens : [Essen Spiel 2012] Le reportage photos |

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