Type de jeu | Construction Optimisation Gestion |
Auteur | Darwin P. Bromley |
Editeur (année) | Mayfair (1990) |
Nombre de joueurs | 2 – 6 |
Durée de partie | De 1 heure à 1 heure 30 minutes par joueur |
Hasard | (selon la variante) |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Les + | – Le principe du Crayon Rail System apparu avec ce jeu, – Les immenses possibilités stratégiques (notamment avec les variantes proposées), – Le faible nombre de contraintes sur le plateau, – La simplicité déconcertante de la règle, – Le positionnement européen de la carte, – La location de ferries. |
Les – | – La place du hasard initial dans la règle de base (cela se corrige avec les variantes), – La longueur des parties si l’on « oublie » que les conditions de victoire sont financières, – Le plus faible nombre de possibilités par rapport à son aîné (jeu plus facile ici). |
Configuration idéale | 3 si les joueurs débutent, 4 s’ils connaissent tous le jeu |
Note subjective | 17 / 20 (première impression) |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (12 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
EuroRails est un dérivé d’Empire Builder, le précurseur des jeux de crayons et de trains, présentant l’immense attrait pour nous autres européens d’être basé sur le vieux continent. C’est donc avec un plaisir non dissimulé que je vous présente ici cette version d’EuroRails, sous l’angle de ses différences avec le jeu original (Empire Builder).Dans ce jeu, comme chez son aîné, il faut encaisser 250 millions de… écus et avoir connecté 7 métropoles majeures pour remporter la partie. Mais ce n’est jamais simple car chacun essaie d’atteindre cet objectif avant les autres et comme les denrées à livrer pour faire fructifier son argent ne sont pas en nombre illimité et que les tronçons constructibles sont soumis à quelques contraintes, on doit gérer au mieux son maigre pécule au jour le jour. Par rapport au jeu de base, on notera les 2 principales différences suivantes : – Il est possible d’emprunter des ferries pour traverser des zones maritimes, – Les mileposts sont plus variés, avec l’adjonction des hautes montagnes de coût 5 écus par liaison. Rien de très révolutionnaire, donc, et au final c’est plutôt une bonne chose : le jeu était bon, pourquoi trop le modifier ?
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Très tendu et très dynamique Au final, en jouant systématiquement |