Type de jeu | Placement Conquête |
Auteur | Fred Buetschler |
Editeur (année) | 3 M (1967) |
Nombre de joueurs | 2 ou 4 |
Durée de partie | De 30 minutes à 1 heure 30 minutes |
Hasard | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Mobilisation de réflexion | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Reflet du thème | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Qualité des mécanismes | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Les + | – L’esthétique générale du jeu (plateau varié et pièces sculptées). |
Les – | – Le dérivé très amoindri des échecs, – Le placement initial catastrophique, – Le peu d’originalités du jeu. |
Configuration idéale | ? |
Note subjective | < 10 / 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (21 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
De toute ma collection de jeux 3M, celui-ci est incontestablement
le moins bon de la gamme, même s’il est sincèrement l’un des plus
jolis. Comme quoi, qualité ludique et qualité visuelle ne font
pas toujours bon ménage…
Dans ce jeu, pratiquable à 2 ou à 4, chaque joueur, exactement comme aux échecs, essaie de prendre le roi adverse, en utilisant au mieux les pièces qui lui sont confiées (certaines se déplacent en ligne droite, d’autres en diagonale, d’autres dans les deux sens, d’autres comme des cavaliers, … bref cela ne vous rappelle rien ?).Le jeu aurait pû s’avérer intéressant à 4, mais il n’en est malheureusement rien, pour plusieurs raisons que je vais énumérer ci-après : |
– Le joueur qui perd son roi est éliminé |
Pas la peine de continuer
bien longtemps. Si ce jeu n’avait pas été dans la série
3M, je m’en serais séparé sur le champ…