Jockey

Type de jeu Parcours
Calculs
Objectif secret
Auteur S. Spencer
Editeur (année) Ravensburger (1973)
Nombre de joueurs 2 – 6
Durée de partie De 30 à 45 minutes
Hasard
Mobilisation de réflexion
Reflet du thème
Qualité des mécanismes
Les + – Le matériel somptueux : tapis de velours
et chevaux de plomb,
– La fluidité du système de progression,
– La possibilité de conserver 2 cartes d’une course à
l’autre,
– L’obligation de « jouer » les cartes de sa main, ce qui n’est
pas toujours en sa faveur.
Les – – Le caractère
très hasardeux du jeu à 5 ou 6 joueurs (même si le
turf se doit de l’être 🙂
– Le faible nombre de cartes en main plus on est nombreux (perte de contrôle),
– Le système d’emprunt qui tourne assez mal,
– La difficulté pour savoir où chacun en sera au bout de
3 courses (beaucoup et peu à la fois).
Configuration idéale 3 ou plus certainement 4
Note subjective 13 / 20 (première
impression)
Nombre de parties effectuées Entre 1 et 5
Illustrations Dessus de la boîte
(26 Ko)
Aides de jeu

Critique générale

Jockey est un jeu de turf qui ne date pas d’aujourd’hui : 1973 ! Et,
pour son déjà grand âge, il faut bien avouer qu’il
demeure un incontournable de ce type de jeu, qui sait allier tactique
à simplicité, tout en rendant assez bien le réalisme
de ce milieu (4 formes de paris différents !).Le but du jeu est d’être le plus riche après 3 courses,
sachant que l’on augmente son capital en réussissant à remporter
des paris plus ou moins risqués : ne miser que sur le premier,
miser sur une arrivée dans les deux premières places, miser
sur deux chevaux pour la première place ou miser doublé
sur le premier et le secon. On choisit comment et combien on mise, puis
les paris sont collectés cachés. La course débute
alors avec une main de cartes par joueur, dont le nombre dépend
des participants (9 à 5 ou 6 joueurs, 15 à 2 joueurs). Ces
cartes permettent de faire progresser les chevaux sur la piste, en utilisant
soit un nombre de cases brut affecté à une couleur de cheval,
soit le rang des chevaux mais sans couleur attitré. La tactique
se situe clairement dans la gestion de sa main, sachant qu’on devra composer
avec son jeu…

Jockey est un jeu hasardeux, surtout avec beaucoup de joueurs, mais qui
se révèle très fluide et surtout assez malin. On
a envie d’y revenir sitôt la partie terminée, et je vous
conseille d’y jouer à 3, ou mieux à 4, pour avoir le sentiment
de contrôler un tantinet l’arrivée des chevaux.


Le cheval marron l’emporte haut-la-main devant ses concurrents, après
une course de 80 cases, certainement en raison de paris corrélés
chez les participants…

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