Type de jeu | Conquête Placement |
Auteur | |
Editeur (année) | |
Nombre de joueurs | 3 – 6 |
Durée de partie | De 1 à 2 heures |
Hasard | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Mobilisation de réflexion | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Reflet du thème | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Qualité des mécanismes | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
Configuration idéale | 4 semble être optimal |
Note subjective | 10 / 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (43 Ko) Portion du plateau de jeu (70 Ko) |
Aides de jeu | Livret de règles |
Critique générale
Ancêtre du Risk, ce jeu est une curiosité.
Il est particulièrement soigné au niveau de son matériel
et il suscite l’envie de jouer (surtout si vous appréciez Risk).
Disons-le tout de suite, d’un point de vue stratégique
et possibilités, le Risk est meilleur, mais… la Conquête du monde
est à savourer comme un témoignage du passé et une étape
dans l’évolution des jeux de société.
Le plus gros reproche à faire à ce
jeu est l’objectif unique qui anime tous les participants : la conquête
du monde. Là où le Risk tire sa diversité, celui-ci s’enferme
dans une seule direction, la même pour tous : la destruction totale des
autres armées.
Alors, à choisir, jouez à Risk, mais,
si au détour d’une brocante, vous voyez passer la Conquête du monde,
sachez que c’est une pièce de choix, qui retient l’attention dans une
ludothèque.