La Vallée des Mammouths

Type de jeu Conquête
Survie
Auteur Bruno Faidutti
Editeur (année) Descartes Editeur (2002)
Nombre de joueurs 3 – 6
Durée de partie 3 heures environ
Hasard
Mobilisation de réflexion
Reflet du thème
Qualité des mécanismes
Les + – Le thème très
bien rendu,
– Le graphisme du jeu,
– Ne pas se prendre au sérieux.
Les – – Le hasard générant
un chaos total,
– La durée de la partie disproportionnée,
– L’élimination progressive de joueurs.
Configuration idéale 5 ou 6 joueurs
Note subjective 12 / 20
Nombre de parties effectuées Entre 1 et 5
Illustrations Dessus
de la boîte (34 Ko)
Aides de jeu

Critique générale
Jouer le rôle d’une tribu préhistorique, cela
vous dit ? Affronter animaux sauvages et parcourir le monde à la recherche
du feu vous motive-t-il ?
Si oui, je peux vous conseiller l’achat de la Vallée des Mammouths, original
de par son thème et par l’ambiance excellente qui règne autour
de la table de jeu.

Le principe est clair :
être la première tribu à posséder 4 camps à
la fin de 2 tours consécutifs dans ce monde de brutes ! Vous devrez affronter
des loups, des tigres, des bisons et une multitude d’autres charmantes créatures,
sans oublier les hostiles tribus énemies, jouées par les autres
joueurs.
Une règle additionnelle permet de jouer de manière encore plus
réaliste : le gagnant devra posséder le feu…

Ce jeu de Bruno Faidutti,
précédemment édité par Ludodélire, est incontestablement
le reflet d’une époque, où les jeux chaotiques et longs étaient
monnaie courante.
Cependant, il est vrai que la réédition proposée par Descartes
a permis au jeu d’évoluer dans la mouvance actuelle :
– Plateau modulaire pour le renouvellement des parties,
– Cartes d’action pour les effets de surprise,
– Boîte carrée au lieu de longue et difficile à ranger,
– Graphisme moderne et humoristique de Gérard Mathieu.

Une belle acquisition pour
les amoureux des jeux à rebondissements, avec un thème fort, et
une forte de dose de hasard pour pimenter le tout. A noter que ce jeu est un
jeu à élimination, c’est à dire que l’on commence à
plein et que l’on finit à peu, aussi il ne pourra pas plaire à
tout le monde.

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