Type de jeu | Gestion Placement |
Auteur | Bruno Cathala |
Editeur (année) | Asmodée (2005) |
Nombre de joueurs | 2 – 5 |
Durée de partie | De 1 à 2 heures |
Hasard | |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Les + | – Le fait que ce jeu soit réédité, il le mérite ! – La gestion de son domaine individuel. |
Les – | – Le thème moins convaincant et moins original que celui de Sans Foi Ni Loi, – Les parties qui peuvent s’éterniser, – La fin de partie où tout peut se jouer sur rien, – Ne pas avoir le nombre de chaque carte. |
Configuration idéale | ? pour l’instant |
Note subjective | 13 / 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (21 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
Ne nous y trompons pas : les Fils de Samarande n’est en rien un nouveau jeu du prolifique et talentueux Bruno Cathala, il n’est que la réédition légèrement remaniée de ll’assez réussi Sans Foi Ni Loi, précédemment sorti chez Descartes Editeur. Après le rachat de ce dernier par Asmodée, il a donc subi un gros lifting de thème (on passe du Far-West au Mille et une nuits) et un petit lifting de mécanismes (quelques changements, pas si mineurs que cela après analyse, relatés ci-après). Le plus simple, quand même, serait de se reporter à ma critique du premier opus pour une vision globale du jeu (cliquez ici pour voir la critique sur une fenêtre distincte), tandis que je vous propose un éclairage orienté sur les différences entre les deux moutures.Première différence, donc, le thème du jeu : on se retrouve plongé ici dans l’univers oriental des Mille et une nuits, avec des prétendants au poste du calife, en lieu et place des propriétaires de ranchs de l’ouest américain. Deuxième différence : la répartition des cartes
|
Troisième différence : les revenus perçus par les Quatrième différence : les coûts pour déposer Cinquième différence : la main de cartes de chaque joueur, Sixième différence : le décompte des points ne se Septième et dernière différence notable : la règle |
Au final, après cette analyse ultra-détaillée des différences
entre les deux jeux, je dois dire que je préfère la première
version du jeu. Le thème, les possibilités de prise de risque
avec les troupeaux, le nombre de cartes en main, le système de décomptes,
… tous ces éléments contribuent à rendre la première
mouture plus sympathique que la seconde. Certes, cette version a plus d’avenir
que l’autre (plus éditée suite à la disparition de Descartes)
et on peut remercier Asmodée d’avoir ressorti ce jeu sous une forme relookée,
mais en ce qui me concerne, c’est la première version qui me plait le
plus 😉