Type de jeu | Enchères Placement |
Auteur | |
Editeur (année) | Hans Im Glück (2002) |
Nombre de joueurs | 3 – 6 |
Durée de partie | Environ 45 minutes |
Hasard | |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Les + | – La qualité du matériel, – La double utilité des cartes, – L’entonnoir du nombre de cartes mises en vente, – Les plateaux recto-verso modulaires. |
Les – | – Les facultés spéciales difficiles à évaluer, – Le manque de puissance de Christophe Collomb, – Les scores obtenus qui paraissent hasardeux. |
Configuration idéale | Certainement le maximum de joueurs |
Note subjective | 12 / 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (34 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
Magellan figure dans la liste initiale du Spiel des Jahres
allemand aussi il doit posséder des qualités.
C’est un je d’enchères, où chaque joueur interprète un
mécène qui mise sur tel et tel explorateur, en lui faisant confiance
plus ou moins longtemps. Le jeu se déroule en 3 années, au cours
desquelles seront successivement mises en vente 3 cartes, puis 2 cartes, puis
une seule carte de chaque explorateur. la contrainte est que seul un joueur
ayant déjà acheté une carte de l’année précédente
peut enchérir l’année suivante
Le jeu est fluide, une fois
intégré les capacités spéciales de chaque explorateur,
sans très grand relief cependant. Les questions existentielles que l’on
peut se poser sont :
– Combien vaut chaque carte ?
– Sur quel explorateur miser ? Combien de temps ?
Magellan est un jeu esthétique,
mais au final guère emballant.