Type de jeu | Construction Placement |
Auteur | Andreas Seyfarth |
Editeur (année) | Hans Im Glück (1994) |
Nombre de joueurs | 2 – 4 |
Durée de partie | Environ 45 minutes |
Hasard | |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Les + | – L’impossibilité de se placer sur un building déjà trop haut, – La fluidité et rapidité des parties, – La capacité de jouer des variantes. |
Les – | – La répétitivité des actions, – L’anti-jeu de recouvrir toujours le même joueur, – Le jeu limité à 2 joueurs. |
Configuration idéale | 4 joueurs |
Note subjective | 15/ 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 6 et 10 |
Illustrations | Dessus de la boîte (30 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
Ce jeu de placement est attrayant de par son thème
et ses principes de construction. Il suscite l’irrésistible envie de
jouer, en construisant des building plus hauts et mieux placés que ceux
de ses adversaires.
Doté d’un matériel
agréable, le plateau se remplit petit à petit de bâtiments
dont la hauteur peut s’avérer vertigineuse : 10 ou 11 blocs !
A noter qu’au moins 2 variantes
politiquement correctes existent et qui permettent de renouveler les parties
:
– Implantation successive dans les quartiers : renforcement de l’interactivité
(surtout à moins de 4 joueurs),
– King Kong : destruction de parcelles de buildings suivants les actions des
joueurs.
Une variante plus limite
limite permet également de simuler des collisions buildings – avions,
mais nous n’en parlerons pas plus…
Un très bon jeu,
rapide à mettre en œuvre, et très accessible pour les joueurs
occasionnels, tout en étant bourré de subtilités que les
joueurs réguliers sauront apprécier.