Type de jeu | Placement Optimisation |
Auteur | |
Editeur (année) | Ravensburger (1989) |
Nombre de joueurs | 1 |
Durée de partie | 15 minutes |
Hasard | |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Les + | – Le fait de pouvoir jouer en solitaire, – Les implications successives des déplacements, – L’anticipation mathématique. |
Les – | – Le côté froid du jeu rappelant le Solitaire, – La répétitivité des parties, – Le déterminisme du jeu (n° de lignes figés). |
Configuration idéale | 1 de toute manière |
Note subjective | 11 / 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 1 et 5 |
Illustrations | Dessus de la boîte (46 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
Un jeu conçu pour être pratiqué en solitaire,
cela ne court pas les rues, et c’est pourquoi lorsque j’ai déniché
Mimikry en brocante, je me suis empressé de le prendre. Ensuite, au delà
de cette caractéristique initiale, le jeu est-il intéressant ?
A vrai dire, Mimikry ressemble à un solitaire
par plusieurs côtés :
– Déplacement de pièces sur un support fixe sur des emplacements
vides,
– Elimination des pièces déplacées,
– Objectif d’éliminer le plus de pièces possibles.
Dans la pratique, ce jeu confirme cette impression
de clone du Solitaire, se montre plaisant, et contient quelques originalités
sympathiques :
– La capacité de déplacement dépend de la ligne où
se trouve la pièce (valeur fixe pour la ligne),
– Les déplacements pouvant se faire aussi bien en ligne droite qu’en
diagonale, il est possible de les exécuter horizontalement (même
ligne), ce qui se révèle fort utile pour éliminer en série
les pièces des lignes 1).
Au final, Mimikry n’est pas un jeu fantastique mais
il tire son épingle du jeu pour 3 raisons essentielles : jouable en solitaire,
matériel de qualité et excitation calculatoire.