Type de jeu | Conquête |
Auteur | |
Editeur (année) | Miro Company (1954) |
Nombre de joueurs | 2 – 4 |
Durée de partie | De 1,5 à 2,5 heures |
Hasard | |
Mobilisation de réflexion | |
Reflet du thème | |
Qualité des mécanismes | |
Configuration idéale | 4 joueurs pour l’interaction |
Note subjective | 10 / 20 |
Nombre de parties effectuées | Entre 5 et 10 |
Illustrations | Dessus de la boîte (43 Ko) Portion du plateau de jeu (81 Ko) |
Aides de jeu |
Critique générale
Jeu mythique par excellence, Rome et Carthage est l’une
des plus belle pièces de ma collection. Cependant, il a mal vieilli,
au regard de ses mécanismes qui paraissent aujourd’hui dépassés.
La note que je lui attribue peut paraître
sévère, mais je me fonde sur mon plaisir ludique actuel, qui n’a
rien à voir avec les souvenirs émus que je garde des parties jouées
dans mon enfance.
Alors, que fait-on dans Rome et Carthage ? Et bien,
on essaie d’éradiquer de la carte les puissances représentées
par les autres joueurs en occupant pendant 2 tours les capitales ennemies. Les
déplacements sont fixés une fois pour toutes : plus ou moins rapides
selon les pièces (mercenaires, galères, char et éléphant).
Le système de combat, ingénieux, est basé sur un système
de cartes à jouer classique, où il faut savoir gérer sa
main car on dispose exactement des mêmes cartes que les autres joueurs.
En pratique, le jeu s’avère assez répétitif
et il est difficile de faire un coup d’éclat dès lors que l’on
est distancé. Alors, on puise son plaisir dans la contemplation de ce
plateau de jeu, esthétique, et on en reste là, avec ses souvenirs…